Petit cours de combat

*Il fait vachement froid ici !*
Dit une petite voix dans la tête de Lucia. Cette dernière agita la main d'un air agacé. Il ne faisait pas froid, c'était l'atmosphère qui était glaciale, et les souvenirs de ces ruines qui se perdent. La jeune brune releva la tête. Elle se promenait dans un des innombrables couloirs de cet ancien château. Elle avait séché tous ses cours de la journée pour y venir, car c'était un endroit qu'elle affectionnait, dans lequel elle ravivait les souvenirs perdus, et l'âme des morts. Ils étaient gentils ces fantômes. Ils ne voulaient du mal à personne. Mais quelqu'un les a tué, les a inexorablement exterminés. Sans gêne, avec un sang-froid inégalable. C'était il y a très longtemps, puisque le château tombait à présent en ruine, avec des plantes grimpantes de partout, de la mousse et de l'herbe par terre, des oiseaux de proies tournant en rond au-dessus dans l'espoir de dénicher une souris ou un nid chaud et confortable. Lucia se sentait donc bien ici, entre toutes ces choses qui rendent les ruines mystiques.
Soudain, la demoiselle se retrouva devant un cul-de-sac. 'Fin, pas exactement un cul-de-sac, puisque qu'il y avait une porte. Très grande, en chêne probablement. D'un geste plein de délicatesse, Lucia la poussa. La porte lança un grincement à glacer le sang. Mais la jeune fille continua, et se faufila entre les deux portes quand celle qu'elle poussait se bloqua sur une pierre. La salle - parce que c'était une salle - avait dû être une salle à manger. Lucia imagina très bien la grande table blanche en son milieu, les chaises blanche, veinées d'argent ou d'or, le grand trône. Et même une petite mélodie passa dans sa tête. Les yeux vitreux, reflétant la salle comme elle était avant, Lucia avança. Elle se mit à tournoyer sur elle-même, dansant au rythme de la musique, ses cheveux et sa cape tournant autour d'elle. Elle se mit à fredonner l'air de la chanson ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Tout de suite, elle sentit les âmes des défunts servant et nobles danser autour d'elle, c'est presque si elle les voyait vraiment... en fait, elle les entrevoyaient, les grandes robes des femmes, les belles tenues des hommes. Elle les voyaient danser ensemble sur cette douce chanson. Des larmes pointèrent à ses yeux. Ces gens si gentils, si beaux étaient morts sans avoir vraiment fini leur vie. Ils attendaient quelqu'un pour les délivrer, pour les comprendre. Lucia était là, mais elle n'était pas encore prête pour accomplir cette lourde tâche. Elle devait murir. Sauf que les esprits ne savaient pas qu'elle avait cruellement perdu ses parents. Et que quelqu'un la recherchait, elle Hybride de deux Hybrides...

Nul... faible... inutile... Voilà se que pensait Arwen d'elle même. Car elle ne savait rien faire à son goût. Sans sa magie, elle serais sans défense et cela l'attristait au plus au point. Se matin en se levant, elle était décidé, il fallait qu'elle devienne forte et qu'elle arrête d'être faible. Elle alla donc chez un marchand et pus avoir une dague d'un état des plus appeurant pour un pris minimes. Quand le vendeur lui remis l'arme, elle l'a trouva belle malgré qu'elle soit trés déteriorer. Elle rentra chez elle et commença á réparer l'arme. Elle éguisa la lame, lui redonnant son éclat d'origine et répara le manche. Puis elle sortit et partit à la recherche d'un endroit ou elle pourait s'exercer. Elle pensa au ruines se trouvant non loin du pensionnat. Elle arriva donc dans ces ruines d'un chateau dont il ne restais presque rien. Elle entras donc dans le batiment et décrocha l'arme du foureau qu'elle s'était fabriquer. Elle pris l'arme dans sa main droite et d'une maniére maladroite fit semblant d'attaquer un ennemi invisible. Mais elle réussis seulement a trébucher et a s'entailler le bras. Elle se releva en ayant les larmes au yeux. C'est injuste ! Pourquoi était t'elle aussi maladroite.. Elle voulus partir en courant. Sauf qu'elle se trompa de porte pour sortir et dans sa hate, elle bouscula quelqu'un, les fesants tomber tous les deux.

-Désoler.....

Arwen regardas la personne qu'ella avait bousculer, même si sa vision était troublé par ses larmes... La personne qu'elle avait bousculé devait la prendre pour une folle, pensa t'elle.


[HRP : Je ne pourrair rien poster jusqu'au 10 novembre ( mon anniversaire donc si vous répondez, je ne pourrais assurez une réponse avant mon anniversaire et mon retour chez moi. Sauf si vous voulez bien m'envoyer un ordi et du reseau dans letrou du cul du trou du cul du monde XD ]

{Leïla tapera l'incruste en plein milieu :3 }

Lucia fut ébranlée par le choc que fit la demoiselle en la percutant. Enfin, ébranlée n'est pas le mot approprié, 'fin si, si on prend son point de vue mental, alors que si on prend son point de vue physique ben, elle est plus qu'ébranlée, elle est même tombée. Et cela arrive rarement, car en général - quand elle sent la personne arriver - elle ne tombe pas, et son corps, pourtant si mince et si frêle qu'on a peur de le toucher, assomme la personne qui la percute. Et c'est donc en général l'autre personne qui se relève après plusieurs minutes d'inconscience avec un "Eh meuf, t'es faite en quoi ?", et qui retombe aussitôt, une dague dans le ventre ou une balle entre les deux yeux.

Sauf que à, c'est différent. Lucia était tellement en transe qu'elle n'avait pas sentit la jeune fille entrer dans la salle, et n'avait donc pas pu se préparer à recevoir un choc. Elle était donc tombée. Logique.

clignant des paupières pour retrouver ses esprits, elle se releva précipitamment, ce qui fit apparaître des points noirs devant ses yeux. Elle vacilla un instant, puis retrouva son équilibre. Elle regarda alors la personne qui avait atterrie sur elle. Une jeune fille, rousse, avec de jolis yeux bleus pleins de larmes. Elle tenait un couteau dans sa main droite, mais avait son autre bras entaillé. Par ce même couteau supposa Lucia.

Prise d'une légère pitié, la Lulu' s'approcha de la petite, qui faisait sa taille à peu près, et posa ses mains glacées sur ses épaules. Que faisait-elle ici ? Comment s'était-elle fait mal ? Et surtout, que faisait-elle avec un couteau ? Peut-être s'entraînait-elle, et dans ce cas, il devait y avoir quelqu'un avec elle. Quelqu'un qui manifestement n'était pas là. Ou pas en vue de moins.

"Que fais-tu ici ? C'est dangereux de venir seule..."

Elle parlait comme une mère, mais ne s'en rendait pas compte. Il est vrai que Lucia adore les enfants, mais elle ignore tout de comment les réconforter, et puis, il faut dire qu'avec sa tenue vestimentaire, les enfants ne l'approchaient pas trop. Et c'est souvent sans le vouloir qu'elle lançait des regards vides, ou froids, aux gens. Pourtant, elle était très gentille, et faisait tout pour aider les personnes, allait chercher les ballons coincés dans les arbres, aidait les grand-mère à traverser une route, réglait facilement quelques problèmes pouvant blesser les personnes, et j'en passe.

Sa voix se fit douce, et non dure, comme elle s'y attendait. Ah parce que oui, ça aussi c'est étrange, mais Lulu' ne contrôle pas toujours sa voix, et n'est pas toujours sûre de sa tonalité, ce qui est assez gênant. Mais normalement, en présence d'enfants ou de gens triste, elle est coopérative, et reste douce et réconfortante.