Après avoir bien profité de notre partie de jambes en l'air miniature dans la salle de bain; Varda avit fini par venir avec moi dans la chambre. Quand je fus en forme secondaire, je posais mes mains sur ses hanches, et mes ailes flottaient dans le vide. Elles étaient un peu repliées, mais ça n'empêcha pas la jeune démone de les toucher. La texture était un peu molle, mais pourtant, c'était solide et résistant. Ca paraissait beaucoup l'amuser, alors que nombre de gens seraient partis en courant et en hurlant à la vue de se monstre hybride entre l'homme et la chauve-souris. Mes canines ressemblaient à deux poignards et mes yeux, injectés de sang, auraient fait frémir à eux seuls le premier humains qui passerait stupidement par là. Je souris quand elle me répondit qu'elle le suportrait avec un tel enthousiasme. Ce dernier était très contagieux d'ailleurs. Je rentrais mes crocs pour ne pas la blesser quand je lui volais un baiser à la saveur extraordinaire. Des frissons se propagèrent dans mes bras, jusqu'à ma colonne vertébrale.
Soudain, elle sembla vrillée par la douleur. Elle se dirigeais vers le lit, une main sur le dos comme une grand-mère ( mais alors vraiment très sexy). Elle s'écroula avant d'arriver au matelas. Elle n'eu pas le temps de toucher le sol. je me ruais à sa rescousse, et ma vitesse était accrue par ma mutation presque complète. Je la portais dans mes bras, avant de reprendre une forme humaine. J'avais rangé crocs, yeux et ailes, retenant la serviette autour de mon corps. Je posais souplement ma compagne sur les couvertures. Je lui ôtais le peignoir, pour qu'il ne couvre que ses fesses, mais aussi ses jambes. Je tirais de sous mon lit un coffret contenant des huiles essentielles. Je resserai ma serviette, chevauchant la belle démone au niveau des hanches. Je ne m'appuyais pas sur elle pour ne pas lui faire plus mal. A l'oreille, je lui sussurai:
-Détends-toi, maintenant....
Je sortis le premier flacon de son écrin, pour en mettre un peu sur mes mains. Je chauffais très légèrement mes mains, alors qu ela musique continuait toujours à tourner. J'y avais mis des heures de musiques, pour mes nuits d'insomnies ou pour celles passées en très bonne compagnie... Je me mis à masser doucement mais énergiquement son dos, prenant bien garde de ne pas la blesser. Mes doigts glissaient sur sa peau, et je sentis le smuscles crispés de Varda se détendre peu à peu. J'avoue que je pris un certain plaisir à la voir ainsi. Elle était sous mon corps, sa peau lisse, chaude et surtout: nue, sous mes doigts... J'entendais son coeur battre dans sa poitrine, son soufle lent sur l'oreiller que j'avais mis sous sa tête. Je m'allongeais un peu sur elle, lui frottant les bras. Ma poitrine entra doucement en contact avec son dos, et elle ne tressaillit même pas. j'avais vraiment réussi à la mettre en confiance, à telle point qu'elle me tournait le dos sans réfléchir et qu'elle m'offrait son corps sans retenue...
Je changeais de flacon, nettoyant mes mains dans un petit bol d'eau claire posé à c^^oté de moi. Celui-ci devait tonifier les muscles. Je voulais faire partir la douleur de son corps, et je savais que j'y arriverai, mais il faudrait sans doute recommencer demain. Je repris mes mouvements dans son dos, allant jusqu'en bas, à la lisière du peignoir, près de ses fesses. J'étais tendre sans être ramollie, et bientôt, je n'entendis plus que le son de la musique. Quand je rangeais mes affaires de massage, elle sembla s'éveiller, et elle repassa le peignoir. Je l'empêchais de s'asseoir, reposais la mallette sous le lit et vint m'asseoir contre elle. Je retirais ma serviette, lui retirai le peignoir ( qui vint s'échouer sur le sol) et tirai la couette sur nous. Je la pris contre moi, réchauffant mon corps pour ne pas qu'elle gèle à mon contact. J'attendis sa réaction.