Un pensionnat ou a première vue tout semble normal,sauf qu'ici il n'y a pas que des humains... |
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| Dortoir numéro 69 | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Dortoir numéro 69 Ven 17 Aoû - 19:43 | |
| Enfin libéré de ses tâches infernales aux enfers liés à sa dépendance à Satan, tout ça à cause d'une erreur de jeunesse, y'a de quoi s'en mordre les doigts, mais en même temps, qu'elle idée de Snober le boss des enfers ? Sa lui avait coûté cher ce coup là, néanmoins la punition lui avait aussi apporté plus de pouvoir. Le volonté de Satan brulait en lui comme un vivier et lui permettait entre autre de sécréter cette fameuse cire qui l'avait tiré de nombreux mauvais pas. Et il espérait bien qu'elle lui servirait aussi dans ce pensionnat ou il comptait se rendre. De ce qu'il en savait c'était un pensionnat plus ou moins ordinaire ou l'on enseignait convenablement les différentes matières jugées indispensables par les humains. En d'autre terme, il aurait certainement refusé de se rendre dans cet endroit, seulement il était certifié et prouvé qu'il y avait en ce lieu une forte concentration de " non-humains". A ce qu'il en savait, vampire, loup, magicien, ange , démon et bien d'autre se côtoyaient à l'intérieur de cette enceinte, la rendant extraordinaire et acceptable pour Angeal. La simple idée que des démons puissent vivre à côté d'anges était suffisante pour le motivé et lui faire accepter l'idée de vivre en ses lieux. Bien sûr il n'avait pas vérifié de ces propres yeux, mais tous portait à croire que ce n'était pas un mensonge inventé pour lui refourguer une mission bidon. Et si jamais c'était le cas, ça aller chier dans le monde d'en bas, parole de démon. Notre ange déchu avait emprunté un portail qui nichait dans les hauteurs d'une montagne avoisinante, pour rejoindre le pensionnat qui était à une cinquantaine de kilomètre à vol d'oiseau, s'offrait à lui deux solutions. Soit il prenait le risque de déballer ses ailes pour rejoindre rapidement le pensionnat avec bien sûr le risque de se faire repérer. Soit il se comporter comme tous les humains lambdas du secteur et il emprunterait les moyens de transports humains. Après une réflexion intense de quelque seconde ( oui oui, pour Angel c'est intense car en général il ne suit que son instinct ! Bon ok ce n'est pas une réflexion si intense que ça finalement) la poudreuse finit de le convaincre il avait certes eu le temps de pratiquer un peu aux enfers mais rien n'équivalait la bonne neige fraiche et naturelle. Il regarda rapidement aux alentours afin de s'assurer qu'il n'y avait personne puis gela la neige à ses pieds afin de créer un snowboard de fortune. Soucieux des détails, il alla même jusqu'à rajouter une couche de cire afin de rendre la pratique plus agréable. Il s'avança près d'une pente, regarda vers le bas puis s'élança dans le vide. Une belle chute d'une vingtaine de mètre - certainement fatale pour des jambes humaines, simple routine pour celles de notre démon - suivit d'une folle descente, slalomant entre les bosses et les roches, il plongea la main dans la neige tout en continuant de dévaler la montagne, il aimer se sentir frais et avait horreur de la chaleur plus par handicap que réel dégout. La volonté de Satan l'avait rendu très sensible à la chaleur, allant même jusqu'à le faire " gouter ". La descente continuait et Angeal commença à se rapprocher du village le plus proche, de là il pourrait certainement prendre un car la ville et le pensionnat. Au pied de la montagne, il eut été plus simple de s'arrêter et de continuer à pieds jusqu'à l'arrêt de bus, mais notre démon avait décidé de profiter un maximum de la neige peut importe les risques, il ne s'arrêta donc pas une fois arrivé en-bas en sauta au dessus des barrières séparant le plateau de la ville. Il atterrit plus ou moins proprement sur le toit d'un camion puis se laissa tomber au sol. La route était légèrement en pente et suffirait amplement à continuer la suite de son petit parcours. Il se mit donc a slalomer entre les voitures, tentant de faire abstraction de la fanfare de klaxon qu'il déclencha. La rue se transforma vite en un joyeux bordel, les voitures klaxonnaient de toutes, jouant des phares pour tenter de raisonner notre démon qui lui n'en avait royalement rien à foutre. Un camionneur qui arrivait en sens opposé descendit de son véhicules et se mit en travers de la route les bras écartes, près à stopper le snowboardeur. Angeal étira un sourire vicieux avant de se pencher en avant afin d'augmenter sa vitesse. Monsieur voulait jouer les héros ? Il serait bien servit ! La neige présente dans la rue suffirait à son petit tour de passe-passe. Il gela la neige présente au sol en y ajoutant un peu de son énergie afin d'en faire un tremplin, le camionneur qui se trouvait malheureusement sur le chemin du démon se retrouva coincer dans le tremplin créé par le rider, un mal pour un bien. Angeal s'élança gracieusement dans le ciel avant d'apercevoir l'arrêt de bus qui signait la fin de son escapade. Il enleva sa planche d'une main puis l'envoya dans le pare-brise du camion. Un petit souvenir qui lui apprendra a vouloir jouer les gros bras. Il se réceptionna au sol avec un petit salto juste pour le spectacle. Quelques jeunes applaudirent et le sifflèrent, mais la plupart des gens qui attendaient le bus se reculèrent et décidèrent d'un commun accord tacite de prendre le prochain bus. Stoïque Angeal monta donc dans le car seul. Il s'assit au fond et posa son front contre la vitre qui était froide et encombré de buées. Il regarda le paysages défilés pendant tout le trajet, s'imaginant dompter cette campagne emplit d'une poudreuse fraîche. Un délice pour son esprit qui ne vit même pas le voyage passé. Aussi eut-il l'impression qu'il venait à peine de démarrer quand le bus s'arrêta en ville. Bougon il descendit par la porte arrière sous les yeux haineux du conducteur qui venait de se rendre compte que son jeune passager n'avait pas payé le bus. Notre démon un peu dégouté de devoir abandonné là son escapade spirituelle mit les mains dans ses poches et marcha quelques temps au hasard des rues, puis las de marcher sans but, il décida de se diriger vers le pensionnat. Arrivé devant l'entrée, il marqua un temps d'arrêt. Rentrer la dedans signifiait sacrifier une partie de sa liberté. Encore en débat intérieur il vit une jeune fille arriver elle aussi en direction du pensionnat. Eh bien, ma journée commençait déjà avec une rencontre. Soucieux de savoir s'il avait affaire à une pensionnaire ou une simple passante il décida -une fois n'est pas coutume- de lui adresser la parole brièvement. Il attendit qu'elle soit à porté de voix avant de la question -Salut, tu es pensionnaire ici ?
[Hrp : Si sa ne dérange pas tes plans, une brève rencontre avant le dortoir ne te dérange pas ?] |
| | | Eris Ishtar Admin
Messages : 128 Date d'inscription : 08/08/2012 Age : 27
| Sujet: Re: Dortoir numéro 69 Sam 18 Aoû - 11:12 | |
| *♫ Let's Dance ! I'll kiss you ♪* J'avais volé durant au moins une heure, et honnetement, je sentais que mes ailes allaient finir par tomber en morceaux. Après une courte pause, j'avais jugé bon de me déplacer à pieds, bien que mon sac devait peser une tonne . . . Comme mon casque s'était explosé en route, j'avais opté pour des oreillettes, discrètes et pratiques. Le trajet s'était donc fait dans la bonne humeur en écoutant du Nightcore. Je commenaçis à en avoir assez de marcher. Heureusement pour moi, lorsque j'arrivais ( enfin car il faut bien le dire, je n'avais pas d'argent, et je supposais qu'il n'était pas très discret de voler au dessus des routes lorsqu'il y avait des automobilistes qui les encombraient ) en ville. Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas rendu dans une simple ville, sans mission ni concert à faire. Il était tôt, enfin je me comprenais, on était en début de journée, alors les rues n'étaient pas bondées . . . J'arpentais les rues, mon sac sur le dos, les mais, les mains dans les poches et ma capuche sur la tête. Les vacances d'été. On pouvait dire que j'arrivais au muvais moment, mais en même temps je n'aurais peut être pas à assister aux cours. Kay m'avait dit que je pourrais continuer de développer mescapacités dans un pensionnat pas comme les autres. Mystique Pensionnat. Voila le nom de l'établissement où j'allais passer un bon bout de temps ! m'enfin ! la seule raison qui m'avait motivé, c'était qu'il n'y avait pas que des humains. Car oui, je me demandais quelles auraient été les réactions de mes camarades de classes normaux lorsqu'ils verraient mes yeux mauves virer au rouge écarlate ! Là j'aurais surement eut du mal à leur expliquer la situation ! Une fois après avoir traverser la ville, je me dirigeais vers l'entrée du pensionnat. En plus de mon sac, je me baladais avec un étuit de guitare. je ne vous dis pas à quel point j'étais discrète . . . J'avais les mains dans les poches, et mes cheveux noirs ébènes me cachaient l'oeil doit. Ma capuche sur la tête, empêchait quiconque de voir totalement mon visage. Question de style . . . J'adorais les deux oreilles de chat que me faisait mon sweet mauve et noir . . . Pour combler mon style très particulier, je portais en plus, à coté de mon sac, mon katana, Mugen. Au moment où j'allais passer le portail démesuré du pensionnat, un gars que je ne connaissais pas m'adressa la parole :
Salut, tu es pensionnaire ici ?
Je relevais la tête. Ma capuche ma cachant toujours une partie du visage. J'enlevais les oreillettes, et répondis d'une voix calme, mais laissant détecter une pointe de dynamisme :
Yosh ! Bah comme je viens d'arriver, je suppose que oui. Et toi ?
Rapide coup d'oeil vers mon interlocuteur. Lui aussi avait son propre style vestimentaire. Bon, au moins je n'étais pas la seule à me démarquer des autres. Son aura était elle aussi différente, une chose était sure, il n'était pas humain. Je fus frappée par la couleur de ses yeux, bmeus mako. une couleur peu ordinaire, dont très peu de gens pouvaient se vanter. Je pris la hanse de mon étuit de guitare et me remonta sur mon épaule. Puis, je fis de même avec celui de Mugen. Avant de remettre ma mèche sur mon oeil droit. Et oui ! j'y comptais ! Puis, je remis mes mains dans mes poches. j'avais l'air d'une musicienne itinérante qui n'avait d'ordre à recevoir de personne . . . Ce qui n'était pas totalement faux. De mon oeil visible, je regardais l'inconnu. il devait lui aussi être du pensionnaire, enfin je l'espérais. Car tomber sur un simple humain alors que je me baladais avec un katana d'un mètre 50 voir un peu plus sur le dos, je devais bien avouer que ce n'était pas la manière la plus discrète de se déplacer . . . Mais bon ! après tout ce que j'avais vécu, j'avais peu de choses à craindre. Je finis par conclure que celui qui se tenait devant moi, devait surement être Démon . . . quoique. Je pencherais plus pour un Ange déchu. Tiens ? Comme mon père ! je ne l'avais jamais connu, ni lui ni ma mère. Vu que j'avais vécu une grande partie de mon enfance dans un orphelinat, et qu'on m'avait assuré qu'ils étaient morts. Mieux ! ils s'étaient faits tués par une bande de vermines ! Je savais qu'il n'était pas bon de ressasser le passé, mais vu que j'avais survécu, la plus grande de toutes les vengences était de rester en vie, non ? Je reportais mon attention vers l'autre adolescent. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dortoir numéro 69 Dim 19 Aoû - 4:16 | |
| Yosh ! Bah comme je viens d'arriver, je suppose que oui. Et toi ?
La jeune fille qui faisait face à Angeal était pour le moins étonnante. De petite taille, elle portait un sweat rayé dont il soupçonnait les manches d'être trop grande pour elle. En plus de cela, il ne put s'empêcher de constater que cette fille n'était pas ordinaire. Elle ne dégageait pas une puissance hors du communs non loin de là, en vérité, le katana presque aussi grand que l’utilisateur était une plus grande source de confiance. Même un expert ne se risquerait pas à utiliser une arme aussi grande que lui sans réfléchir. Ne jamais se fier aux apparences. Il ne put s'empêcher de sourire en remarquant les oreilles sur la capuche de son pull. Sans compter la guitare présente dans le dos, on pouvait qualifier la jeune fille de ... extravagante ? ou ... étonnante. Dans tous les cas, on pouvait au moins dire qu'elle avait le sens du goût et du style à sa façon. Angeal n'avait jamais aimé ressembler au reste, ce démarqué fait partis de sa nature; après tout pourquoi vivres si c'est pour ressembler à tous le monde ? Étant donné que c'est Angeal qui avait engagé la conversation, la politesse eu voulut qu'il continua la conversation. Seulement notre démon n'en avait rien à battre des codes de vie. Mais cette fille avait l'air si dynamique qu'il ne put se raisonner à l'ignorer. A peine sortis de sous terre qu'il commençait déjà à faire le sentimental. Faudra qu'il fasse attention si il ne veut pas finir comme un humain, enfermé dans une maison rempli de bambin avec une femme au foyer. Et ne plus pouvoir vivre ? Pufff !
-Hum, non, je suis pas encore pensionnaire ici, j'viens d'arriver et honnêtement si tous le monde est aussi excité que toi je sans que sa ne va pas être de tout repos. *Il ajouta plus pour lui-même que oubliant qu'il parlait avec la jeune fille* Amusant, mais fatiguant ouais ...
Voila, débarrassé des formalités, Angeal poussa la grille puis s'avança dans la cour, chaque le rapprochais un peu plus d'une échéance. Celle de ne plus être entièrement libre. Cette idée le préoccupait déjà pleinement, aussi ne jeta-t-il même pas un coup d'oeil derrière lui pour voir si la fille l'avait suivit. Information dérisoire comparé à ce qu'il allait s'en suivre. Une fois fois arrivé dans le hall d'entré, il alla s'informer de l'endroit ou il faudrait aller pour s'inscrire et recevoir une chambre. Le type qu'il lui indiqua tout ça le regarda bizarrement, compréhensible en même temps. Le nombre de personne qui venait s'inscrire dans un pensionnat alors que c'était les grandes vacances ne devait pas dépassé 1 en temps normal à mon avis. Mais là, il n'était pas sortit d'affaire. Angeal lui était relativement posé. La fille elle était plus dynamique. Le gars un peu trop curieux sortis la tête de sa loge pour observer notre " ange déchu " se rendre au secrétariat. La curiosité est un vilain défaut, et notre démon n'allait pas tarder à le lui rappeler. Il s'arrêta, puis se retourna. Le gars fit comme si il cherchait un truc par terre, occupation minable suspecte et pas discrète. Trop de faute de goût selon Angeal. Il claqua des doigts et une bulle d'eau se forma au-dessus de la tête de cette espion en herbe. Toujours à occuper à faire semblant de chercher quelque chose par-terre il ne s'aperçut de rien. Notre démon tourna les talons et continua sa route, lorsque ce type se relèverait, il ferait éclater la bulle et se retrouverait totalement mouillé. Sa lui apprendrait tiens.
*Plaff* La bulle avait éclaté, va savoir comment, de toute façon ce n'était plus son affaire.Angeal étira un sourire malin sur son visage avant de grimper les escaliers qui menaient au secrétariat. Là-bas, on lui donna un formulaire long de 5 pages à remplir. Quel galère il n'aurait surement pas finis de le remplir en 5 minutes ce foutu truc. Démotivé, notre démon s'assit sur une chaise dans le couloir et commença à remplir le formulaire d'un oeil évasif, tout en regardant la cour du pensionnat.
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| | | Eris Ishtar Admin
Messages : 128 Date d'inscription : 08/08/2012 Age : 27
| Sujet: Re: Dortoir numéro 69 Lun 20 Aoû - 10:52 | |
| -Hum, non, je suis pas encore pensionnaire ici, j'viens d'arriver et honnêtement si tous le monde est aussi excité que toi je sans que sa ne va pas être de tout repos. *Il ajouta plus pour lui-même que oubliant qu'il parlait avec la jeune fille* Amusant, mais fatiguant ouais ...
Je haussais les épaules. C'était justement le fait qu'il y ait d'autres personnes, hors du commun qui m'avait convaincu de rejoindre ce pensionnat. Sinon, je serais surement partie, dans un autre établissement, où les ancien membres de la Brigade auraient été scolarisés. Il poussa la grille du portail, et se dirigea vers le pensionnat. Bon et bien au moins, j'avais eut un aperçu de ceux qui peuplaient le batiment. Des personnes hors du commun, comme on me l'avait dit. Heureusement, toute la paperasse et les formalités avaient été faites avant que je n'arrive. Le directeur avait envoyé le formulaire d'inscription à Kay, qui me l'avait remis. Tant mieux ! une fois arrivée, je n'aurais plus qu'à poser mes bagages et faire une petite escursion d'exploration ! Je regardais le gars partir, soupirais, et finis par moi aussi suivre le même itinéraire. Je traversais la cour du pensionnat, plus déserte que jamais. Evidemment, la plupart des autres étudiants devaient être partis en vacances . . . Tant mieux ! on ne me dérangera pas quand j'irais faire le tour des lieux ! J'entrais dans le hall. Un homme était en train de cercher quelque chose sur le sol. Mauvais acteur. Cela se voyait, par les coups d'oeil furtifs qu'il lançait en direction des escaliers. Je le regardais un instant, et finis pas lui demander d'une voix neutre :
Excusez moi de vous déranger, où se trouve le secrétariat s'il vous plait ?
Il m'indiqua du doigt les escaliers et me dit qu'il fallait que je monte à l'étage supérieur. Bon. Je passais devant lui, un sourire malin sur le visage. Je me retournais et ajoutais, sur un ton mesquin :
Au fait, faites attention lorsque vous vous relèverez.
L'homme me regarda intrigué. Quant à moi, je continuais mon chemin. Après quelques pas, j'entendis un gros "splash". La bulle d'eau que j'avais vu avait du être crevée . . . par le bonhomme de l'accueil. Je l'avais pourtant prévenu ! Un sourire léger se dessina sur mes lèvres, et je montais les escaliers, tranquilement d'un pas non chalant. Tiens ? Quelle coïncidence ! Le gars de tout à l'heure était assis dans le couloir, en train de remplir le formulaire. Cela me faisait pensé qu'il fallait que je le sorte de mons sac. Aussitôt dit, aussitôt fait ! je sortis l'enveloppe de mon sac, et me dirigeais vers le secrétariat. Je donnais ensuite les documents à la dame, qui me demanda d'attendre quelques minutes. Bon . . . Je posais l'étuit de ma guitare à coté de moi, mais je gardais mon Katana sur l'épaule. Je jettais un coup d'oeil discret à l'autre gars, il semblait tellement ravi de remplir toutes ces feuilles qu'il prenait son temps tout en regardant par la fenêtre. je le comprenais, d'où l'interet d'avoir demandé les documents avant, et de les donner dès son arrivée. La dame revint, une clé à la main, et un sourire un peu trop lumineux sur les lèvres à mon gout. Les personnes trop positives me faisaient peur parfois . . . Elle m'indiqua le batiment qui egroupait tous les dortoirs, et me donna lenuméro de celui que j'allais occuper. Bon, je la remerçiais et sortit. Sans oublier ma guitare. Je traversais de nouveau la cour, et pénètrais dans un grand batîment, aux murs bruns et blancs. Bien évidemment, je demandais au concierge à quel étage se trouvait ma chambre, au sixième étage . . . Pauvre de moi ! ne comptez pas sur moi pour descendre et monter les six étages tous les jours! Je passerais par la fenêtre ! c'était plus simple. Je gravis tout de même les marches de l'escaliers, et une fois arrivée au sixième étage, cherchais le numéor 69. Au fond du couloir, le meilleur emplacement ! J'introduisis la clé et ouvris la porte. Il y avait deux lits, et euh . . . Sur chacunes des tables de chevet, une grande feuilleoù ces quelques mots écrits en rouge étaient gravés :
"Survivras-tu ici ?"
Quelle question . . . Evidemment ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dortoir numéro 69 Ven 31 Aoû - 3:51 | |
| Ce questionnaire était vraiment relou, en faite, on aurait dit un test psychologique crée par la C.I.A ou le KGB. Le genre de truc avec 5 fois la même questions posées de façon détourné. " Avez-vous une arme ", " Possédez vous un objet pour vous défendre ", " Etes-vous en possession d'objets pouvant blesser ou attentez à la vie d'une personne " etc etc etc ... Rien de très amusant. Angeal n'avait qu'une seule envie, détruire cette maudite paperasse et visité sa chambre. Seulement il se disait qu'après avoir rempli 3 des 5 pages, ce serait vachement bête de jeter l'objet de sa détermination aux oubliettes. Alors il n'aurait plus qu'a prendre son mal en patience, après tout, si il avait put remplir 3 pages, il pourrait bien en remplir 2 non ? C'était mathématique comme équation de toute façon. Y'avait pas à discuter. De toute façon, il n'avait pas le choix, même s'il semblerait que certaines personnes ai pu s'y soustraire. Il pensait à cette fille qu'il avait croisé devant le pensionnat. Elle n'avait pas l'air de passer par la case paperasse, puisqu'elle n'était pas en train de se taper la même corvée que lui-même. Foutu passeur, on lui avait assurer que tous étaient déjà prêt. Et merde, on c'était bien foutu de lui.
Après avoir enfin fini la corvée griffonnage, le directeur lui remis une clé d'une façon solennelle l'air de vouloir dire " Je vous remets cette clé, faites en bonne usage. ", pour le démon c'était plus " Vous me donnait la clé d'un endroit pour pieuter ? ok j'essayerais de pas tous tagguer. " Il faut dire qu'il n'avait pas la même considération des redevances. Pour il, on ne pouvait être redevable de quelqu'un que s'il vous sauvez la vie, ou s'il vous rendez plus fort. Quelque chose d'une autre optique était hum ... inconcevable. L'échange équitable c'était une jolie connerie d'humain, la preuve notre démon ne pratiquait pas cette adache et il était toujours en vie. Si ça ce n'était pas une preuve. Dans la vie y'as que deux choses de vraies. Vivre, Vaincre et Survivre. Oui ça fait trois, mais vivre et survivre allait dans le même paquet. Le principe c'est de vivre paisiblement, le cas échéant, on survis sanglantement. La psychologie démones de cet ange illégitime pouvait parfois être complexe à apréhender. Breeeef, tout ça pour dire qu'il avait demandé une clé ! Mon dieu, on a beaucoup trop divaguer, trêve de plaisanterie. Il attrapa la clef puis ferma la porte du bureau et se tira sans autre forme de jugement. Pas de " Merci monsieur le proviseur " ça aurait était trop pompeux. Pas de " merci m'sieur " ça aurait été trop heureux. Pas de - arrêtons nous là-. Angeal dévala la volée de marche qui le séparais de son dortoir et s'arrêta devant sa porte. La clé indiquait pourtant bien le numéro 69. Hors, la porte était déjà ouverte, entre-ouverte du moins. C'était quoi cette entourloupe ? On lui avait pas dit qu'il devrait partager sa chambre avec je ne sais quoi. Imaginer que c'est avec un Ange !! Merde, c'est pas possible ça. Bon t'façon, fallait bien vérifier tout ce bordel.
Angeal regarda dans le couloir et s'assura qu'il n'y avait personne avant de passer à l'action. Pour rentrer dans la chambre ? Plusieurs solution, il opterai pour la solution " vapeur ". Pas trop complexe. il allait créer de la vaper pour pousser la porte sans se faire repérer, ensuite il la condenserait pour faire pleuvoir dans la chambre et forcer son occupant s'il y en avait un à sortir. Si personne ne sortais hum ... mieux valait ne pas y penser ! |
| | | Eris Ishtar Admin
Messages : 128 Date d'inscription : 08/08/2012 Age : 27
| Sujet: Re: Dortoir numéro 69 Ven 31 Aoû - 15:42 | |
| Je commençais à déballer mes affaires, rangeant rapidement mes vêtements dans l'armoire. Ils étaient tellement bien pliés qu'ilsn'étaient même pas froissés ! tant mieux. Je n'aurais pas demander un fer à repasser aux gens du pensionnat. Venait ensuite, ma guitare. Ahh . . . ma chère guitare ♥ que de souvenirs, et que d'action ! Saviez-vous qu'en modifiant la fréquence de certaines guitare, on pouvait créer des ondes de chocs . Tout cela était mathématique, et de plus, cela serait très utile durant un combat. Si, bien sur, on avait l'habitude de se ballader avec un ampli de concert taille XXL. M'enfin . . . Pendant que je me remémorais tous les moments que j'avais passé avec cette guitare - aussi bons que mauvais - je réfléchissais à l'endroit où je pourrais l'exposer. De mon oeil visible, je parcourais la pièce rapidement, et décidais, finalement, de la poser contre le mur, près de mon lit. L'étuit noir ébène scintilla lorsqu'il fut parcouru par un rayon de soleil. Après avoir placé ma guitare, je m'occupais de Mugen. Trouver la meilleure place à pour exposer un sabre surpuissant, dans un chambre excessivement normale, avec en plus de ça un ou une colocataire . . . Rien que la taille de mon arme faisait peur. Je sentais que Mugen allait occuper la même place que ma guitare, malheureusement pour lui. Et je doutais que cloue des crochets pour maintenir mon sabre au dessus de mon lit, était autorisé. Au moment où je déposais Mugen près de ma guitare, de la vapeur s'emboucha dans la pièce, par la porte. Je levais un sourcil. Cela, c'était pas normal. Soit il y avait un incendie, soit quelqu'un faisait le pitre dans le couloir et avait des pulsions pyromaniaque. Etrangement, je le sentais mal. Et mon impression se confirma car il se mit à pleuvoir dans le dortoir ?! Sérieusement ! combien de personne, ont un jour eut, l'occasion de dire qu'il pleuvait à l'intérieur ?! Bah, apparemment, je faisais partie de cette minorité presque inéxistante. Je laissais échapper un soupir d'éxaspération, et créais une sorte de parapluie d'ombre qui partait de ma propre ombre, me protégeant ainsi de la pluie. Je créais ensuite, une masse d'ombre au dessus de mon armoire attitrée et de mon lit, en bref, au dessus du périmètre que j'occupais. Au moins, mes affaires ne prendraient pas la flotte, et seul le lit opposé au mien serait inondé. Je me dirigeais vers la fenêtre, et l'ouvris. Pourquoi ne povais-je pas controler le feu ? Au moins, j'aurais pu sécher la pièce. Mais l'Ombre était un élément bien plus interessant, alors je n'avais pas à me plaindre. Mais en attendant, j'étais en train d'attendre dans un pièce où il pleuvait ! pauvres humains, si j'avais été l'une d'eux, je serais déja partie depuis longtemps, croyant que cette chambre était hantée. Deux solutions s'offraient à moi : soit j'attendais à l'intérieur, que cette pseudo pluie cesse d'elle même, soit je sortais pour voir quel était l'idiot qui avait trouvé ça malin d'inonder ma chambre.
Bon, je n'allais pas rester là, comme un cupcake à tête d'algue. Sur ces mots, j'ouvris la porte à l'aide d'une lame d'ombre, et passais la tête dehors. Je vis le gars de l'accueil, tiens donc ! Je le fixais, d'un air blasé, et lui lançais :
Tu connais pas une formule pour atterter la pluie ?
A tout les coups, c'était lui qui avait fait pleuvoir dans le dortoir . . . | |
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