Tout deux enlacé, l’un contre l’autre, se disant des mots doux couvert par le bruit des vagues. La lumière du soleil couchant les illuminait de sa lumière orangée. J’en fus écœuré, de voir que de pitoyables humains se permettaient de passer du bon temps comme ça, comme si rien n’était important. Accroupie derrière les dunes, j’attendais le bon moment pour trancher. J’avais passé toute la journée a roder dans les rues, a rien faire. Je m’ennuyais, mais n’avait rien trouvé a faire. Je m’étais retrouver là par pure hasard… mais comme on dit, il faisait bien les choses. Un jeune couple amoureux a en crever, quelle meilleur proie ? Finalement, ils s’embrassèrent. C’était le moment que je voulais. Afin de casser leur moment de joie. Ma lame fila telle un aigle, si vite qu’ils ne l’entendirent pas arriver. Le sabre se plantât dans les côtes de l’homme, ne le tuant pas mais presque… J’eu un énorme sourire au cri de la jeune brune. Elle s’accroupie vers son amant et le secoua en appelant son nom. J’avançais alors vers eux, sortant de ma cachette. En me voyant, l’autre cruche redoubla de pleurs.
L’autre cruche : Pitié aidez moi ! Mon ami est blessé, il… il…
Je soupirais mais l’ignorais, me mettant a la hauteur du mari. C’était un mec que j’aurais classé comme ‘’Beau Gosse’’. Il n’en serait que plus gouteux. Sous les yeux –et les putain de cris- de l’autre cruche, je foutu un grand coup de poing au mec, qui le tua sur le coup. J’arrachais mon sabre d’un grand coup et me retournais vers l’autre. En quelques secondes, elle avait perdue ses bras et ses cordes vocale –c’que je peux aimer arracher les corde vocales moi…-, et agonisait au sol avec plusieurs trous… pire, elle était encore vivante. Afin qu’elle ai une mort encore plus atroce, je croquais le bras de son amant comme si c’était une pomme, arrachant la chaire avec un plaisir non dissimuler.