Un pensionnat ou a première vue tout semble normal,sauf qu'ici il n'y a pas que des humains...
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| | | Retrouvaille avec saaya |  |
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Invité
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| | Sujet: Retrouvaille avec saaya Mar 21 Fév - 22:13 | |
| Aujourd'hui , je devais faire bien des choses. Je devais retrouver Saaya. Oui j'ai eu des informations grâce a un type qui est venu me parler sans raison. Il se nommait Ichigo Kurosaki. Il m'avait dit que saaya était dans un pensionnat. Ce pensionnat se nommait Mystique Pensionnat. Cela était vraiment bizarre, car c'était la première fois que j'entendais cette " école ", pourtant j'avais aménagé ici depuis quelque mois. Puis, le type me dit ou cela se trouvait, le plan et comment fallait faire pour s'inscrire. Mais ce jeune homme m'avait un peu provoqué vers la fin. Il me dit de ne pas faire de mal a Saaya, sinon il me tuerait. Donc j'avais vite fait de réagir. Je me transformais en loup et n'en fis qu'une bouchée. Et pour terminer, je partis dans ce fameux "pensionnat ", là où était madame "Saaya". Arrivé là bas, je partis m'inscrire, et comme par magie, ils m'ont accepté directe, ils m'ont pris pour un " 'humain ", alors que j'étais un loup mais bon. J'en avais rien à foutre de dire la vérité ou pas. Mais vu que j'étais ici, je sus que j'étais désormais en prison, et que je devais dormir ici.
- Putain fait chier, je suis vraiment con !
Puis je partis dans les couloirs. J'avais entendu une voix similaire à celle de Saaya. J'attendis qu'elle sorte de sa cachette. Et quand elle en sortit, je lui fis :
- Yo Saaya comment va-tu ? |
| | | | Saaya Aisaka
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| | Sujet: Re: Retrouvaille avec saaya Mer 22 Fév - 20:30 | |
| C'était parti pour une séance d'anglais, que je détestais ce cours, en plus le prof était toujours sans pitié, intero sur interro . . . Nan mais fallait arrêter là, merde ! Déjà qu'on devait apprendre sans qu'on le demande, mais en plus on était pas payé et dans ta vie, tu te demanderas jamais «C'est quoi le verbe fixer en anglais ? » Nan sérieux fallait arrêter le délire là. Bref, je n'avais jamais rien compris en cette matière, il était donc inutile de continuer a vouloir s'améliorer. Pendant toute l'heure j'avais fixé l'horloge, laissant ma copie blanche, je n'avais même pas écrit mon nom dessus, cela m'épargnerait peut-être une bulle. Enfin avoir une bulle ou non je m'en tape complètement . . . La sonnerie retentit à son tour dans tout le pensionnat, elle marquait la fin des cours et la tranquillité absolue, le paradis venait d'ouvrir ses portes.
Je remballais vite fait, mes cahiers ainsi que ma trousse, mit mon gilet noir avec au niveau du dos un motif de tête de mort, ça déchirait un max et j'en étais fière. Je mis ensuite une anse de mon sac sur mon épaule et sortis de la salle de cours sans me presser, je n'avais même pas rendu la feuille au prof; donc s'il la voulait, il aura qu'à bouger son cul de la chaise et allait la chercher. Une fois dans le couloir, je ne fis même pas attention s'il y avait quelqu'un que je connaissais ou autre, j'en avais rien à foutre de lui foutre un vent ou autre, enfin si ça aurait était Cal cela aurait était différent . . . En même temps normal.
Un mec aux cheveux bleus s'adressa ensuite à moi. Il avait un sweet gris avec une écharpe blanche et bleue. Fin bref, sa tête ne me disait rien.
- Yo saaya comment va-tu ?
Seul blème . . . Comment connaissait-il mon nom ? Ok, il raisonnait beaucoup dans le pensionnat mais bon, enfin en même temps pas mal de mecs m'admirent, disons que je l'ai ait tous surpassé, question j'menfoustiste, vulgarité et autre. Donc en conclusion ce mec aux tifs bleues était un de mes fans. Je lui répondis tout en continuant à marcher :
Yo, ouais ça va mais désolé, j'ai pas le temps de signer des autographes donc bon à la prochaine.
J'avais l'intention de rentrer tranquillement au dortoir, d'empreinter la psp de Cal et d'y jouer tranquillos sans être dérangée. Je n'avais donc pas de temps à perdre inutilement avec quelqu'un que je ne connaissais pas. | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Retrouvaille avec saaya Jeu 23 Fév - 19:38 | |
| Puis quand je vis Saaya, et que je lui dis "salut". Elle continua sa route en me disant, bonjour, qu'elle allait bien, mais qu'elle avait pas le temps de signer des autographes. HEIN mais elle disait quoi là ? Elle se souvenait plus de moi ou quoi ? Je me mis à marcher derrière elle. Puis un moment j'ouvris une porte de dimension et apparus devant elle. je lui dis ensuite :
- Oh je suis pas un fan ! Je suis plus que ça , tu me reconnais pas ou quoi ?
Je disais cela mais je fis mine d'en avoir rien à foutre d'elle pour qu'elle se rappelle un minimun de moi. Ouais, Saaya et moi on s'en foutait de tout. On pouvait même dire que notre grand-mère était morte , on restait indifférent . Peut être plus maintenant, car on a grandit mais bon, on sait jamais avec Saaya . |
| | | | Saaya Aisaka
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| | Sujet: Re: Retrouvaille avec saaya Mer 29 Fév - 15:05 | |
| Oh pis nan, changement d'avis, j'préfere m'entraîner à la guitare pour faire chier tout le pensionnat en mettant l'ampli à fond et à frotter les cordes de la guitare comme une tarrée, ras le bol de porter mon sac . . . Je le pris donc et le balançais contre les casiers sur mon côté, sans me pré-occuper s'il y avait des gens, ils se prenaient le sac dans la gueule pas grave, ça n'allait pas les tuer, ok ils auraient mal mais . . . Tant mieux. N'empêche, faire exploser la cervelle des gens ça doit être pas mal . . . Comme électrocuter jusqu'à faire griller quelqu'un, faudrait que j'essaye. Je mis mes mains dans les poches de mon gilet puis, le mec aux cheveux bleus apparut devant moi, euh what the fuck ? Depuis quand les gens çaa se téléporte ? Pour les vampi' ok, car eux c'est grâce à la vitesse mais bon . . . Je fixais le mec droit dans les yeux :
Oh je suis pas un fan ! Je suis plus que ça , tu me reconnais pas ou quoi ?
Bon écoute, nan j'te reconnaîs pas car je ne te connais pas, tout simplement. Maintenant casse toi ou j'te casse la gueule . . .
C'est pas possible les gens aussi collants, je commençais à charger de l'électricité, la laissant apparaître à l'oeil nu. Le crépitement des étincelles était comparable à des cris de dizaines d'oiseaux. Mon air calme ou plus arrogant, jouait également un peu, sans compter que si ça se trouvait, c'était lui que j'allais griller vif. Trop mortel . . . | |
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