Chambre 14

Vous saviez qu'il existais un endroit encore plus effrayant que l'enfer, plus étouffant qu'une prison, plus moche que les mouches ? Ben Neko, elle, ne le savait pas. Cet endroit, bien que contre toute attende, réunissait tout cela : Un Pensionnat. Pourquoi la jeune Chains avait elle donc choisi de venir dans un tel lieu ? Simplement pour oublier. Oublier tout ce qui était arrivé. La jeune fille faisait face au bâtiment qui, avec ses grande grille, ressemblais à une sorte de prison. C'était bien sur surement le cas. Elle soupira. Son sac à dos en qu'elle tenais d'une seule main pendais dans son dos avec ce qui aurait pus être vue comme de la lassitude. Seulement, c'était un sac. Elle passa le portail après avoir montrer le formulaire d'inscription aux guards de l'entrer. Sa ressemblais encore plus à une prison vus d'ici... mais les grilles n'étaient tout de même pas suffisamment haute pour que Neko soit dans l'impossibilité de les franchir. Elle passa ensuite la porte du bâtiment. Les gens passait en discutant, l'ignorant totalement. Tant mieux. Mais bientôt ils s'écarteront tous à son passage. Elle se pointa à l'accueil, puis lança son dossier d'inscription au personne qui en était responsable.
Dame idiote de l'accueil : Bonjours, vous devez être Neko Loris, non ?
Neko : Nan, sans blague ? C'est marqué sur le dossier, Sherlock.
Sherlock : Eu... oui. Vous devez donc être la nouvelle.
"Nan mais c'est quoi sa ? Sa se voit quant même que je suis nouvelle... et je viens de lui dire..."
Neko : Nan, ch'ui là depuis deux ans.
Sherlock : …
Neko * soupire exaspéré * : Bah oui ch'ui nouvelle, y'a pas besoin d'avoir inventé la poudre pour le savoir !
Sherlock * désemparer * Oui, oui... hm...
Elle donna enfin son emploie du temps, son numéro de chambre et tout le reste à la chains qui put enfin partir vers son dortoir. Il ne fut pas dur de le trouver, le dortoir 14. elle ouvrit la porte, et là manqua de près l'évanouissement. C'était blanc. Les murs blanc, le sol clair, avec chaises et bureaux blanc/gris. Drap et lit beige/gris. Mais le pire... tout était prévus pour DEUX personnes !
Neko : Hors de question que je partage ma chambre avec qui que ce soit ! Déjà que c'est moche affreux...
Elle jeta son sac au pied du lit et ce laissa tombé sur celui-ci... elle avait bien l'impression qu'elle allais détester rapidement ces lieux...

Un corbeau d'un noir obscur se posa sur la grille d'un grand pensionnat. L'oiseau resta immobile, comme figé. Il semblait observer cet immense batiment avec attention.

Un bruit sourd résonna, le corbeau disparu dans un épais brouillard noir. A la place, une jeune fille était assise sur la barre en métal grise. Ses longs cheveux pendaient dans le vide. * Alors c'est ici …* Pensa t'elle avec des yeux pétillants avant de sauter de la grille avec souplesse et agilité, bien que le grillage était assez haut.
Elda, c'était le nom de cette étrange jeune femme. Celle-ci entra dans la batisse d'un air sûre d'elle. C'était l'une des caractéristiques d'Elda, elle arborait toujours un air fier, presque autain. Elle arriva devant une porte oû était inscrit «  Accueil », elle n'hésita pas une seconde et entra dans la petite salle. La responsable leva le nez de son ordinateur et dévisagea la jeune fille.
- Bonjour, que puis-je pour vous mademoiselle ?
Elda farfouilla dans son sac à dos, qui ne ressemblait plus à grand chose avec ses trous et ses tâches éparpillés un peu partout. Elle en sortit un petit de feuilles froissées et le tendit à la resposable.
- Voilà mon dossier !
La femme la regarda de travers. En général, on prend soin de ce genre de papier administratif, mais Elda n'en avait rien à faire. Elle esquissait un large sourire qui se voulait presque insolant.
- Elda Marker …. Vous deviez arriver aujourd'hui .
Dit la responsable en détachant son regard du dossier vers Elda.
- Oui c'est ça !
Répondit-elle avec entrain.
- Je peux avoir ma chambre à présent ?
Continua Elda d'un air désinvolte.
Après que la responsable lui ai indiqué sa chambre, Elda sortit de l'accueil et longea le couloir. Quelques élèves bavardaient à côté d'une fenêtre. Elle les regarda du coin de l'oeil avant d'arriver devant une porte, c'était la chambre 14, sa chambre à présent. Elda entra dans la pièce et vit une jeune femme, elle était allongée dans un des deux lits. Elda la dévisagea quelques instants avec précaution avant d'engager la conversation :
- Salut ! Tu viens d'arriver toi aussi, n'est-ce pas ?
Dit-elle avec un sourire en coin, Elda devinait bien que son interlocutrice n'était pas très enthousiaste.
- Moi c'est Elda, Elda Marker plus précisément. Et toi ?
Demanda t'elle en posant son sac à côté du lit qui était libre et en s'asseyant au bord de celui-ci en attendant la réponse de la jeune femme qui aillait être désormais sa colocatrice.

( Je vais écrire à la première personne^^)

Je commençais à m'endormir, me disant que peut être mon ou ma coloc' n'arriverais pas aujourd'hui. Mais je n'eus le temps de faire ni rêve ni cauchemar que la porte s'ouvrit. Si, la personne destiné à me faire ch*er chaque nuit arrivais hélas maintenant. '' J'ai vraiment pas d'bol... '' J'ouvris un œil et détaillai rapidement ma nouvelle colocataire. Une fille. Avec des cheveux plutôt... étrange. Rose ? Blond ? Orange ? Blanc ? Bref, avec de long cheveux. Des yeux... jaune ?! Ouai, jaune. J' aurais tout vu, c'est sur. D'abord Sherlock en dame d'accueil complètement paumé, et maintenant une fille avec des cheveux indéfinissable et des yeux jaune. Et puis quoi encore ? Je referma mon œil et l'ignora quant elle entra.
Elle : Salut ! Tu viens d'arriver toi aussi, n'est-ce pas ?
Nan... c'est vrai ? Je savais pas dit donc... ils ont tous décidé de joué les inspecteur là ? Mon sac est fermer, le dortoir intacte, mon lit fait. Donc oui, je viens d'arrivé. Y'a rien d'extraordinaire à voir sa.
Moi : Mh... peut être.
Ouai, la flème de l'ignorer. Nan et puis... je vais devoir vivre avec elle. Vous vous rendez compte ? Vivre ! Donc autant ne pas se détester. Et ne pas s'apprécier non plus. Il faut trouver un juste milieu. Et au pire, si elle me saoul... ben j'lui coupe a tête hein, on va pas se casser la tête. Enfin... je renifla discrètement l'air. Déjà, c'est pas une humaine. C'pqs une neko. Entre nous, sa vaux mieux pour sa vie. Ni un loup garou. Dommage sa. Pas un vampire. Ni aucune créature que je connais. P't'être une hybride ? Aucune idée.
Sherlock Version 2 : Moi c'est Elda, Elda Marker plus précisément. Et toi ?
Ah. Cool. Mais j'me fou de son nom. Ben ouai, j'l'aurais appeler La Chiante sa aurais très bien été. En fait, je l'aurais pas appeler du tout.
Moi : J't'en pose des question moi ?
Bah ouai... c'est vrai, j'lui est rien dit ou demander. 'Pouvait pas se taire nan ? Ne rien dire ? La boucler ? Nan. Y'a fallut qu'elle me dise son nom, me demande le mien, engage une conversasion. Oui, je m'énerve pour très peu. Bien sur, je ne laisse rien paraître. Là je donne l'impression de dormir à moitié, coucher en travers de la chose qui me sert de lit. Je finit par ouvrir les yeux et je commença à contemplé le plafond. Blanc. Sa va très vite m'énerver. Bah, si je le teinte du sang de mes victime... sa ira mieux.

Elda attendait patiemment la réponse de la jeune femme, bien que la patience ne soit pas son fort. Trouvant le temps long, elle sortit de son « sac à dos » (si on peut l'appeler comme ça) une brosse à cheveux. L'un des objets les plus précieux pour Elda, il est vrai qu'avec une cheveulure comme la sienne, vallait mieux s'en occuper régulièrement. Elle prit donc ses cheveux dans une main et de l'autre la brosse et commença à les démêler. Pendant ce temps, elle se demandait comment avait-elle pu en arriver là, bien sûr tout ça était de sa faute. Elda avait commit l'irréparable.
A ces pensées, Elda esquissa un léger sourire ironique avant que sa nouvelle colocataire ne réponde enfin :
- Mh ...peut-être.
Elda détourna le regard vers la fille aux cheveux noirs avec un regard amusé, puis elle posa sa brosse sur le drap blanc du lit qui était accordé avec les meubles blancs de la petite chambre.
Elda se leva, et marcha dans la pièce, observant le moindre recoin de celle-ci. Elle poussa un léger soupir de déception, trouvant cette chambre d'un manque cruel d'originalité à son goût.
Après avoir demandé le nom de son interlocutrice, celle-ci lui répondit d'un ton déplaisant :
- J't'en pose des questions moi ?
A ces mots, Elda pouffa de rire. Bien que toute personne normale n'aurait pas trouvé cette réponse drôle, au contraire. Mais pour Elda, qui est une personne assez « décalée » on va dire, cela se voulait hilarant. Elle se retourna vers la jeune femme avec un sourire sardonique avant de répondre :
- Je voulais simplement vérifier si tu étais quelqu'un d'ennuyeux, et malheureusement, il s'avère que oui !
Si il y'a bien une chose qu'Elda n'aimait pas, c'était les personnes peu causantes, qui ne s'interessent à rien d'autre qu'à leur petite personne, des personnes refermées sur elles-même. Mais elle préférait cela aux gens supercifiels, qui sont d'un grand ennui pour Elda. Car, ces personnes souvent muettes et très réservées, ont souvent des secrets, des secrets parfois honteux, humiliants, sorbides, qu'elle adore réussir à dérober, pour pouvoir les manipuler par la suite.
C'est sans doute pour cela qu'on juge Elda comme étant une peste, une grande stratège qui cherche à faire tomber les autres à ses pieds. Mais la réalité est tout autre. Il suffit simplement de comprendre cette étrange femme, de dépasser les apparences et les préjugés, pour voir qui est vraimant Elda .

[Désolé du retard... En plus c'est court ><]


Elle : Je voulais simplement vérifier si tu étais quelqu'un d'ennuyeux, et malheureusement, il s'avère que oui !
Ennuyeuse ? C'est comme sa qu'elle me qualifie ? Nan mais je suis pas d'acore moi ! Je suis em*rdante, ch*euse, ok, mais pas ennuyeuse ! C'est trop faible comme adjectif ! Beaucoup trop faible ! Maintenant, plusieurs questions s'imposait à moi. Lui parler, ou ne pas lui parler ? Je pouvait très bien lui dire deux trois mot par si par là, je survivrais. La tué ou ne pas la tué ? Nan... dés l'premier jour sa l'fait pas. M'énerver ou ne pas m'énerver ? Bah, autant garder mon calme. Mais, là plus importante : Dormir ici, ou ne pas dormir ici ? Hm... comme je l'avais vus, il ne serais pas dur de sauté par dessus la grille. Le toit étais sans doute accessible. Et la ville offre de nombreuse cachette. Et, si par malheur je n'avait pas le choix, je dormirais là. Bien, les problèmes sont réglé. À, non. Il reste ma 'chère colocataire'. C'est mon plus gros problème, sa. Hm... alors comme sa, pour elle, je suis ennuyeuse ?
Moi : Ah.
B. Hum. Ben oui, que voulez vous que je dise ? J'avais deux choix. Lui trancher la tête pour qu'elle la boucle, ce que je ferais si elle ne me fiche pas la paie, ou dire 'Ah'. Mh... vraiment, ce lit n'est pas du tout confortable. J'eu une idée. Cette fille n'était pas humaine. Il fallait espérer pour elle qu'elle n'ai rien contre les 'gros chien de nature plutôt sauvage'. Je me redressais sur mon lit, et, sans attendre, pris ma forme de louve. Mon lit se retrouva briser, et, d'un coup de patte, j'envoyai mon bureau par la fenêtre, qui fut briser au passage. Je suis là depuis à peine une demis heure, que déjà j'ai endommagé le dortoir. Je me roula péniblement en boule. Vraiment, cette pièce était bien trop petite pour moi, du haut de mes deux mètres. Je soupirais.
Moi : L'idée de base était bonne, mais le résulta décevant. Cette pièce est beaucoup trop petite.
Je jetais un oeil noir à l'Autre. Hm... oui, beaucoup trop petit, je 'avait pas laisser beaucoup de place à l'autre, mais c'était le prix à payé pour survivre à ma présence.
Moi : Maintenant, laisse moi dormir.