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Un pensionnat ou a première vue tout semble normal,sauf qu'ici il n'y a pas que des humains...
 
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 News Chambre 18 [Pv. Saaya]

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MessageSujet: News Chambre 18 [Pv. Saaya]   News Chambre 18 [Pv. Saaya] EmptyLun 30 Avr - 23:32

Mystique pensionnat… était-ce possible que je sois en fin rendu là? En tout cas, le bâtiment se trouvait droit devant mes yeux et il était bien réel. Je le regardais avec une certaine appréhension, peut-être dû au fait que je n’avais aucune idée par qu’elle endroit commencer mes recherches. De toute façon je n’avais nullement l’intention d’enquêter avant d’avoir une position plus sécuritaire par rapport à cette place. Mes pas étaient lents et fébriles alors que je m’approchais doucement de l’entrée de cette école qui se trouvait curieusement à être la dernière étape de ma quête. Mon approche fut doublée par un étrange sentiment d’accomplissement, comme à chaque fois que j’arrivais au lieu de ma quête même s’il me restait encore beaucoup à faire.

Je me rendis alors, comme les instructions de mon inscription me le demandaient, aux bureaux de la secrétaire ou je rencontrai une vieille dame qui me remit un mystérieux papier pour ensuite me laisser totalement au dépourvu sans avoir aucune idée de son utilité. Pendant un moment j’eus envie d’aller faire frire cette salope qui n’a même pas eu la politesse de me dire un bonjour ou quelconques salutations. Ça ne me prit pas beaucoup de temps avant de constater que le morceau de papier parchemin qui semblait avoir de jolies marques de moisissures était enfaité le numéro de mon dortoir. *Eh bien, on a le budget pour une bâtisse de maitre, mais des papiers de qualité sa c’est hors de prix?*.

Je me rendis donc à la salle des dortoirs pour y voir ma future chambre. Le couloir était fait d’un bois ni clair ni foncé qui avait gagné un style assez joli avec le vieillissement. L’aller au complet était recouvert de tableaux de toute sorte et de toutes les couleurs. Les portes en bois plus pâle et plus récentes avaient tout de même des poignées en cuivre dont les marques d’oxydations se laissaient voir à certains endroits. Mal isolé, le couloir faisait résonner cent fois mes pas qui pourtant étaient discrets et subtils. Je comptais les portes : *14, 15, 16, 17* pour finalement me rendre a celle qui allait me donner accès a ma chambre et inévitablement par la même occasion, mon précieux lit.

Je dis sa parce que je sentais la fatigue qui voulait s’emparer de moi en m’envoyant constamment des signaux de sommeil et que je ne pouvais quasiment plus résister a l’envie de m’abandonné a un repos bien mérité. C’est vrai ça fait 3 jours sans arrêt que je marche inlassablement vers le pensionnat, car j’étais si pressé d’arriver que rien ne m’avais arrêté. Mais maintenant, maintenant que je suis arrivé, je sens que mes force que quitte et j’ai incroyablement hâte d’aller m’étendre dans un lit bien douillet.

J’arrivai devant la porte 18 qui, somme toute, était comme tout les portes du couloir, en bois massif avec une petite poignée ronde avec encore un peu d’éclat. Je posais ma main molle sur celle si pour y entré; je sentis le métal froid toucher ma peau alors que je tournais lentement pour qu’ensuite la porte s’ouvre. Ce que je vis était, pour le moins, saisissant : la pièce, en désordre total, composait deux lits et la présence d’une tonne d’objets qui semblaient indiqué qu’une seconde personne allait se retrouver avec moi. Je ne pus m’empêcher d’avoir un soupir d’exaspération : j’allais être sérieusement restreint dans mes marges de manœuvre. Peut-être que je devrais faire une demande pour être échangé dans un dortoir vide, mais pas tout de suite. En ce moment j’ai sérieusement besoin de sommeil.

Je me frayai un chemin à travers tout ce bordel vers le lit inoccupé, me lassant immédiatement dessus laissant ma valise avec le reste du tas. Ça faisait du bien, le lit était moelleux et le coussin était doux et confortable. Ou peut-être que c’était tout simplement que ma fatigue était si grande que tout me semblait confortable. Enfaite je… m’en fou… foutait complèt… tement.

Mes paupières devinrent soudainement extrêmement lourdes et mon esprit voguait dans le songe et pensait à toute sorte de choses qui ne faisaient aucun sens. Je me plongeais lentement dans le sommeil. Je fermais les yeux, commençant un rêve…
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Saaya Aisaka
Hybride sadique et dangereuse
Saaya Aisaka


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MessageSujet: Re: News Chambre 18 [Pv. Saaya]   News Chambre 18 [Pv. Saaya] EmptyMar 1 Mai - 1:18

    L'amour, comme plusieurs personnes disent, n'apporte que du bonheur. Rarement alors, de jour en jour l'idée de ne plus avoir Cal à mes côtés me détruisait, c'était la seule personne qui me comprenait vraiment dans ce pensionnat, la seule à qui je me confiais. Et surtout celui qui était mon point faible étant donné que c'était la personne la plus importante à ma vie. D'où je me trouvais, c'est-à-dire sur la branche d'un arbre dans la cour, je vais mes jambes repliaient et ma main dans mes cheveux réfléchissant à ce que je devais réellement choisir comme voie. Celle de la terroriste et machine de guerre comme Azraël le voulait . Ou suivre mon destin tel il doit être comme ma mère le veut . Un choix qui me restait encore impossible à choisir. Je décidais ensuite de rentrer, rester dehors commencer à me déplaire et à m'emmerder. Je sautais de l'arbre où je réatterris avec agilité au sol, je repris ma guitare que j'avais laissée au pied de ce même arbre. Non je n'avais pas l'amplificateur, tout simplement car je revenais de salle de musique et là-bas il y en avait un.

    Je me demandai ce que j'allais faire dans le dortoir, seul ce n'était pas la fête, même un enterrement est mieux animé, oui j'ai bien dit un enterrement donc vous pouvez voir à quel point je peux me faire chier. Saito, Neko et Haku ont tous disparut de mon champ de vision, aucune nouvelle, a se demander ce qu'ils foutent. Fin bref, ils doivent encore être en vie, c'est comme avec Yuki, je ne la croise plus mais à vrai dire c'est plutôt pas mal. Tout comme moi elle doit savoir que notre prochaine rencontre ne sera pas calme, il y aura des pleure, de la rage, de la haine et du sang et... un décès. Il n'y aurait qu'une seule personne sortant de notre combat. J'arrivai ensuite devant la grande porte du pensionnat, celle qui donner accès au hall, et j'eus à peine le temps de rentrée que la secrétaire m'interpella. Ça y est, je suis dans la merde, je parie tous mes bonbons que c'est à cause de mes actes récents, donc les meurtres que j'ai commis, j'avais comme un présentiment assez bizarre, je ne pouvais pas dire lequel mais attendre ce que la vieille sur son siège allait me dire me gonfler. Bah oui, elle cherchait des putains de papier, elle ne pouvait pas me dire ce qu'elle avait à me dire directement . Nan mais faut arrêter les conneries maintenant. Puis en fait elle m'annonça que j'avais un nouveau colocataire, super nan . Elle me menaça aussi truc genre : « Interdiction de se battre », « au moindre problème, nous ne te louperons pas ». Bon ok, je n'étais pas la meilleure colocatrice, mais fallait-il autant en rajouter ?

    Bref, je ne m'attardai pas plus ici, je me dirigeai vers les dortoirs sans trop vraiment me pressé, pensant à quoi aller ressembler mon coloc' et s'il aillait être sympa. Ou si je n'allais pas avoir de problème a cause de ma race, si c'était un humain, il n'aillait même pas faire une heure avec moi, hors de question de supporter une de ces choses dans ma piaule. Je resserrai un peu l'anse de la protection pour ma guitare que je portais avec mon épaule. Le bandage à ma main droite de mon combat avec la Neko était encore présent. Oui normalement cette blessure aurait déjà dû cicatriser depuis longtemps mais vu que je me forçais à apprendre la guitare, la plaie ne se refermait pas et je ne ressentais même plus la douleur. J'arrivai devant mon dortoir en soupirant et en fermant les yeux pour prendre la poignée de la porte. À ce même contacte je sentis quelque chose de sombre, l'aura d'un démon, mais pas du même stade que Cal bien plus puissant... S'il était au courant de mon histoire alors Satan devait certainement lui avoir ordonné de me tuer, si je la jouais discrète ça n'allait pas le faire, et calme non plus. Bordélique était la meilleure option à choisir .

    J'ouvris assez calmement la porte encore, le démon était sur son lit en train de dormir, nickel il allait avoir un bon réveil, Nan ce n'était pas méchamment mais bon. Je balayai ensuite d'un regard le dortoir avant de refermer la porte derrière moi, c'était étonnant de voir le bordel qui avait dedans, des papiers de bonbons par terre, mes jeux de Psp qui trainaient partout bref la femme de ménage ne voulait même plus passer... J'avançai doucement, posant ma guitare au sol, la sortit de son étui et la posa délicament du temps de brancher le câble jack à l'amplificateur. Une fois fait je dus régler ce qu'il fallait. Je repris ensuite ma guitare et donne un coup rapide et sans accord pour faire le plus de bruit possible. Une fois fais je fis un sourire assez amical au démon et lui dit :

    Yo ! Pour le bordel dans le dortoir c'est normal, la femme de ménage ne veut plus passer... Bref ! Je e souhaite la bienvenue ici...

    J'enlevais ensuite mon gilet et le balançai sur mon lit, sortit mon portable de ma poche pour le tenir dans mes mains et mettre de la musique mais pas à fond, un volume résonnable, bien sure ce n'était pas n'importe quoi comme musique nan c'était du métal, en même temps je n'écoutais pratiquement que ça puis je m'adossais contre le mur en attendant la réponse du nouveau.
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MessageSujet: Re: News Chambre 18 [Pv. Saaya]   News Chambre 18 [Pv. Saaya] EmptyMar 1 Mai - 2:45

La vie parfois nous réserve bien des surprises, mais celle auquel j’allais assister était de loin parmi les quelques qui m’a désorienté le plus dans tous les choses auquel j’ai assisté. J’étais paisiblement en train de vivre mon rêve pendant que je faisais mon rapport quotidien à mon maitre (inutile de dire que l’enfer n’a pas de numéro de téléphone alors les rêves c’est classe comme communiquation). En tout cas, j’étais en train d’expliquer la situation actuelle et comment je me suis retrouvé avec une autre personne dans le dortoir. Cela ne semblait pas le choqué puisqu’il avait bel et bien confiance en mes capacité à accomplir ma mission. Après cette communication, je me mis a dérivé dans mes rêves en profitant pour faire le ménage dans mon subconscient alors que mon corps, lui prenait du repos.

C’est alors que je profitais bien de mon repos plus que nécessaire que j’ai été interrompu dans mon sommeil d’une façon plus ou moins amusante. Un calme s’était installé en moi pendant ce rêve mais il ne dura pas longtemps puisqu’un puissant son de guitare retenti dans toute la pièce et me réveilla brusquement. Malgré cela mon corps n’avait pas bougé d’un poil et je n’avais même pas ouvert les yeux. Mais, pour être honnête, j’ai eu une des grandes peurs de ma vie. J’analysais mentalement les émotions que je voyais. De la sympathie, un peu de colère, de déprime; mais quelque chose clochais avec ces émotions. Je ne compris pas tout de suite quoi mais après un moment je réalisai que je n’avais aucun contrôle sur ses dernières. *Sa pourrait devenir un problème.*

- Yo ! Pour le bordel dans le dortoir c'est normal, la femme de ménage ne veut plus passer... Bref ! Je te souhaite la bienvenue ici...

*C’était donc une fille!* Alors qu’elle se dirigea vers son portable pour y faire jouer de la musique, je décidai enfin d’ouvrir mes yeux pour voir qui était ma nouvelle colocataire et de lui dire quelque chose. Mais au moment où ma bouche s’ouvrit pour dire quelque chose, je fus tout simplement frappé par la personne que j’avais devant moi. Était-ce mes yeux qui avaient des problèmes ou j’avais réellement Saaya Aisaka à côté de moi? Non! Je ne me trompais pas : j’avais devant moi la fille d’Azraël, ainsi que sa meurtrière. Mon premier réflexe dans cette situation aurait probablement été de la faire carbonisé pour venger la mort d’un lieutenant de mon maitre mais, une si jolie fille : ça ne se tue pas comme ça. C’est incroyable comment a cet âge, les hormones prenne le dessus et moi, en tant que gars, j’ai une difficulté incroyable à lever le doigt contre une belle fille. En plus, cette Saaya, elle ne m’a rien fait, alors je n’ai aucune raison de la supprimé ; s’ajoute à ça le fait qu’elle pourrait être utile dans la recherche des artéfacts.

Mais pour l’instant tout ça ne m’importait peu, l’important était d’apprendre à la connaitre si on était pour vivre ensemble pour une période plus ou moins longue. J’allais devoir me mettre en bon terme avec elle, surtout si elle est sympa ça pourrais même être très agréable comme place. Reste que, elle doit probablement savoir que je suis un gars des enfers alors elle sera surement sur ses gardes.

Perdu dans mes pensé pour une bonne vingtaine de secondes, je me secouai la tête pour reprendre conscience de mon entourage. Alors que je balayais encore une fois la chambre du regard, je remarquais à quel point le bordel était désastreux, simplement marcher allait devenir une tâche complexe avec tout les tas entravant de la pièce. Je décidai enfin de m’introduire d’une voix enjoué et accueillante.

-Ouais, pour le bordel il va falloir trouver une solution tôt ou tard si on ne veut pas se noyer dedans. En tout cas moi je m’appelle Mordekai, fils de Mordenkainen, et c’est pour moi un plaisir de faire ta connaissance, lui dis-je avec un grand sourire au visage.

Je pris un peu plus de temps pour regarder Saaya, voir à quoi elle ressemblait physiquement. Première chose qui me frappe, ses yeux; d’un bleu azur profond, ils étaient magnifique et semblait venir du surréel. Ses cheveux noir et fin d’une longueur incroyable était libre et s’envolait dans tous les sens en complétant sa beauté. Côté vêtement elle portait des trucs assez simple genre un t-shirt et des jeans. Rien d’osé malgré le fait que sa poitrine se démarquait très bien à travers le linge. En tout cas ça faisait un contraste avec ma mission avec les succubes : même que je ne suis pas sûr d’avoir le droit d’appeler ce qu’elles portaient, des vêtements. Tout ça pour dire que j’avais devant moi une magnifique jeune fille : Saaya

-Finalement, je crois avoir trouvé la solution pour tout ce bordel, annonçais-je en me levant d’un bond.

Je me dirigeai ensuite tant de bien que de mal vers ma valise pour y sortir quelque chose. Pour votre information cette valise est un artéfact que j’ai obtenu dans ma mission aux domaines d’Épiméthée, je l’ai reçu en cadeau pour avoir surveillé ses animaux. Cet objet très pratique est comme un sac sans fond qui me donne les objets que je demande. J’ordonnai donc qu’on me donne les ossements de Geth. Pour faire cout, Geth est un ancien serviteur à l’époque de Louis XIV : un maitre cuisinier et un domestique, je l’ai ramené d’une tombe parce qu’il avait un renseignement dont j’avais besoins. J’ai ensuite gardé ses os car ce gars est très utile.

Je pris donc ses ossements et utilisa ma magie pour leur donner vie. Rapidement ils se mirent a tournoyez dans les airs pour un par un se placé pour former un squelette humain. Un uniforme blanc d’une style français très ancien brodé de fils s’or apparut par-dessus les os. Le serviteur s’inclina devant nous et sans dire un mot, se mit ranger les différents trucs dans leurs endroits respectifs. Alors qu’il s’exécutait on entendait le bruit faible des cliquetis des os qui s’entrechoquaient alors qu’il bougeait.

Quant à moi, je me retournais vers l’hybride lui lançant un autre beau sourire :

-Voilà, sa devrai être utile à l’avenir, lançais-je en lui offrant un clin d’œil. Mais je ne t’ai pas donné l’occasion de te présenter. Je suis un curieux alors : parle-moi un peu de toi.

Je m’assis sur mon lit en portant une oreille attentive à ce qu’elle allait dire.
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