Chambre N° 16 (Ou "Comment tout à commencé")

Chambre N° 16 (Ou "Comment tout à commencé")

Une porte de bois se tenait devant le jeune garçon – enfin c'était plutôt lui qui se tenait debout, mais ceci est un détail sans importance ! -, il se posait plein de question telles que : ''Vais-je avoir des colocataire?'', ''Si oui lesquels ?'' ou encore ''Quel est la couleur du mur de ma chambre ?''... Oui il lui arrivait de se poser des questions aussi inutile qu'insignifiante juste pour passer le temps. Oh, le fait qu'il put se trouver ici, dans le bâtiment, n'était pas si bien compliqué ! En descendant du taxi, son premier réflexe, excepté celui de payer le chauffeur, était de se diriger au secrétariat. Le personnel le conduisit rapidement devant la chambre n°16...

« Et maintenant ? Je fais quoi ? ... se dit-il » William hésita, partir en courant pour rentrer en Irlande ou alors franchir cette porte et accepter cet endroit comme plus ou moins deuxième maison ? Pour certain le choix était vite fait !

Willy fit son choix : PARTIR !! Ses biscuits à la main - qu'au départ il réservait pour son ou ses colocataires -, sa veste sur son dos et la peur au ventre il se retourna, courut et percutât quelqu'un. Il tomba sur le sol

« Oh, pardon ! Dit-il les yeux fermé et les fesses à terre. Je suis navré ! »

L'agresseur leva les yeux pour son (innocente ?) victime

(HS : Désoler pour ce petit post mais j'ai fait vite fait, et puis c'est juste une intro, je ferais mieux la prochaine fois !)

Alors que Cat venait de passer une nuit qu'elle ne qualifierait pas d'agréable (étant arrivée la veille vachement tard et n'ayant pas eu le temps de s'installer), néanmoins elle espérait qu'un petit-déjeuner lui remonterait le moral et arrêterait les grognements hargneux de son estomac. Du moins si elle trouvait le réfectoire... Dire que la veille il lui avait fallu presque une demi-heure pour trouver sa chambre, heureusement pour elle que Thomas l'avait accompagnée jusqu'au pensionnat, celà lui avait fait gagner du temps et puis sinon...

Perdue dans ses pensées, elle ne faisait pas attention à ce qui l'entourait et évitait juste par instinct les portes et autres obstacles mais quand on lui rentra soudainement dedans, elle fut ramenée brutalement à la réalité.

« Oh, pardon ! Je suis navré ! »

Cat regarda la personne qui l'avait bousculée et se retint de rire. Ce n'était pas vraiment grave et puis la façon qu'il avait de s'excuser l'amusait beaucoup... En plus c'était lui qui était tombé à terre non ? Avec un petit sourire et une voix amusée, elle répondit :

-Et puis-je savoir le nom de mon agresseur ?

Elle lui fit un clin d'oeil, le regardant... Elle espérait qu'il ne croirait pas qu'elle lui en voulait.

En ouvrant les yeux, la première chose qu'il vu fut des bottes, brune et plutôt longue... en levant la tête, William vu que la jeune fille avait plus ou moins le même âge que lui. Il pu aussi voir qu'elle était blonde au cheveux mi-long et en bataille. Des oreilles étaient bien visibles sur le sommet de son crâne, de couleurs marrons. Quant à ses yeux, d'un bruns purs, pétillaient de malices et d'amusement. Dans l'ensemble elle était plutôt mignonne.


« - Et puis-je savoir le nom de mon agresseur ? Dit la jeune fille
- William Romero » Dit-il en se relevant « Et vous ? »

Dans son mouvement de levé, il profita pour la... humer. Son odeur raciale était semblable à la sienne, à celle d'un humain et à celle d'un...

« Chat ? » Se murmura-t-il avec étonnement

William n'appréciais pas grandement les chats, bien qu'il ne les détestait pas. C'est juste que d'habitude, entre eux, c'était pas le grand amour... Ça, non ! Bien au contraire : en général, ça se terminait par des griffes prêtes au combats dans les deux camps !

Le silence était clair... enfin entre eux, car les étudiants parlaient de bons trains, se mouvaient et pleins d'autre choses qu'un étudiant fait d'habitude comme penser ou respirer ! La conversation en était presque au point mort... Willy posa une question tout en donnant une information :

« Quelle est votre chambre ? Moi c'est celle-là » Tout en pointant la porte n°16, comment aurait-on pu un jour imaginé que cette porte qui l'aurait accueilli aura été l'un des facteurs principaux de sa vie, ici ? Qui aurait pu imaginé que cette porte mènerait à une pièce principale ? Tout le monde en réalité... mais lui croyait qu'au bout d'une année ici, il serait partit. Tant d'aventure à découvrir, et l'une d'elle commençait aujourd'hui ! William était... dans une impasse ?

(HS : Je vais agrandir mes messages petit à petit apparemment xD)

-William Romero. Et vous ?

Cat s'écarta pour le laisser se relever et lui répondit aussitôt :

-Cat.

Elle le détailla rapidement, fin et racé (les mauvaises langues auraient dit grande perche qui a poussé trop vite), il la dépassait d'une tête. Ses vêtement étaient ordinaires mais laissaient entrapercevoir une musculature plus que correcte. Le plus étonnant chez William (c'était décidé, elle alait le surnommer Will...) c'était ses cheveux... Turquoise, il se les teintait ou c'était naturel ? Elle avait envie de passer sa main dedans mais se retint.

Se rendant compte que pendant qu'elle le détaillait, elle n'avait rien dit et que la conversation était au point mort, Cat s'en voulut un peu... La revoilà en train de jouer les lunatiques solitaires... Heureusement pour elle, Will reprit la parole.

Quelle est votre chambre ? Moi c'est celle-là

Il pointait la chambre dont il était sorti précipitamment avant de la bousculer. Elle ne vit pas le numéro de celle-ci mais supposa que c'était le 16, comme sa chambre n'était que deux portes plus loin en face. (Cela laisse donc pour ceux que cela intéresse la solution 21 ou 11, ceux qui ont voté pour la seconde solution gagnent une image !). Elle répondit simplement en pointant négligemment la porte derrière elle :

-Ma chambre est la numéro 11.

Sentant que son estomac allait encore faire des siennes, elle prit les devants. Elle avait faim et avait maintenant une personne pour la conduire au réfectoire. Autant en profiter. Elle eurait surement pu suivre les autres élèves mais mieux valait une sécurité non ?

-Hum... William ? J'ai faim, tu allais au réfectoire ?

Pas très féminin ou mignon mais au moins c'était direct : soit il y allait et elle l'accompagnait, soit elle le plantait rapidement avant de provoquer un séisme lorsque son estomac grondera famine. Mais tout en disant ces mots, une légère odeur lui chatouilla les narines. Elle les fronça légèrement (si si ! elle fronce ses narines vous avez bien lu) et regarda Will... Ca venait de lui cette odeur de... chien ? Non, c'était plus fort et plus sauvage, on aurait dit une senteur de forêt en même temps. Intriguée, Cat le redétailla mais ne s'aperçut de rien d'autre mis à part son piercing qu'elle n'avait pas vu et sa croix (ou alors c'était une épée, elle n'était pas sûre) qui pendait le long de son cou.

Lumeer était en retard pour le repas le plus important de la journée : le déjeuner. Mais sa belette blanche, qui s'était une fois de plus caché sous ses habits, l'avait fait veillé jusqu'à très tard cette nuit. Heureusement qu'il n'avait pas eut cours ce matin. Sinon, il était mort. C'est donc avec une belette dans les cheveux et des habits en vrac sur lui qu'il sortit en trombe de sa chambre.

Au passage, pour bien commencer la journée, il trébucha sur quelque chose d'invisible et en fait, d'inexistant. Très fort ce loup-garou vous me direz. Vous êtes sûr que c'en est un au moins ? Ne le blamez pas ! C'est nouveau pour lui d'être un loup-garou et très dur ! Surtout quand vous vous dites que le tatouage sous son oeil est en fait là pour cacher une vilaine cicatrice fait par des humains...

Bref, au lieu de se crouter monumentalement par terre, Lumeer réussit un roulé-boulé et rattrapa la pauvre belette blanche qui eut le tournis. Et Lumeer s'arrêta à côté de deux personnes. Un loup et un chat. L'odeur de l'homme était presque inexistante, mais Lumeer avait le nez developpé et connaissait bien cette fragence d'odeur, sauvage et de nature. C'était un loup, il était près à mettre sa main au feu !

Par contre, lui, pauvre petit loup, il n'arrivait pas du tout à masquer son odeur par rapport aux autres. C'était horrible, il était tout le temps ridiculiser à cause de ça. Par contre, il les regarda un moment, ça ne faisait pas longtemps qu'il était là, mais... Il connaissait déjà quelques personnes, pourtant ces deux-là ne lui disait rien.

Sans un mot, il se releva, épousseta son pantalon un peu sal et poussa un petit cri de surprise comparable à celle des filles, lorsque la belette se refugia sous son haut. Il passa du blanc au rouge tomate, avant de redevenir blanc. Il avait un peu honte... -malgré le fait qu'il les dépasse d'une bonne demi-tête- Et bégaya :

- Pardon, c'est cette petite peste, il extirpa la belette de dessous son haut, elle n'est pas très sympa par moment...
Il chuchota pour la bête au pelage blanc :

- Tiens toi un peu tranquille.

La belette geignit quelque chose dans sa langue de belette.

- Je sais, on va y aller, alors du calme ! Lui répondit Lumeer.

« -Hum... William ? J'ai faim, tu allais au réfectoire ?»

« Oui. » Ce qui aurait été un tissu de mensonge « Tu veux m'accompagner ? » Ces deux petite phrase-là, c'est ça qu'il aurait dit, si un jeune lycanthrope aux cheveux blancs n'était pas arrivé en culbute magistrale. Et grâce au garçon, Will put constater que le couloir était devenu... complètement vide. Seul ''Blanc-tinet'', le féline, sa valise (laissé au sol, et complétement oublié en réalité...) et le ''turquoisien'' étaient encore présent. À ses pieds se trouvait le garçon à l'odeur si... lycanthrope, qui était en train de se relever. William prit très peur : comment pouvait-on avoir idée d'être aussi GRAND ?

« - Pardon, c'est cette petite peste » Et à ce moment le plus grand des trois, sortit le quatrième protagoniste : une belette complètement adorable, enfin au yeux de William qui devinrent jaune brillant, les oreilles étaient, elles-aussi, de sorties « elle n'est pas très sympa par moment... 
-Pardonné. » Dit machinalement William, et qui plus est, plutôt destiné à la belette. Il n'avait qu'une seul envie : la croquer, au sens propre et figuré... Mais pour la version ''propre'' c'était plus parce qu'il n'en avait jamais gouter lors de la chasse, Esmond lui disait qu'une belette était plutôt bonne à manger... quand on en attrape une !

William regarda sa montre et dit à l'attention de Cat « On devrait y aller, non ? » avant de s'adresser à Lumeer, bien que Will ne connaissait pas encore son nom « Nous allions à la cafeteria, vous voulez nous accompagné ? Au faite ! Moi, c'est William ! Et elle c'est Cat ! » Présenta-t-il sans se rendre compte de ses oreilles qui était encore prèsentent contrairement aux yeux qui étaient revenu à la normal. Et de plus : Will devait avoir les oreilles bouché car il n'avait pas entendu 'Blanc-tinet' parler à sa belette.

(HS : PARDON POUR LE RETARD >.<')

Cat venait à peine de proposer à William d'aller à la cantine vers lui qu'une autre personne tomba et roula juste entre eux. Il sentait une odeur étrange d'humus et de... chien ? Comme Will... La neko n'en était pas sûre mais epnsait avoir affaire à deux lycanthropes. Elle recula d'un pas et les détailla tous les deux, cherchant un signe distinctif ou une ressemblance entre les deux personnes devant elle? Cat remarqua ensuite le petite boule blanche, une petite belette a-do-ra-ble ! La neko se retint de la caresser (bien lui en prit vu le caractère de l'animal). Elle se sentit par contre beaucoup plus confiante avec le nouveau venu, une personne qui avait une aussi mignonne petite compagne ne pouvait pas être méchant !

- Pardon, c'est cette petite peste, elle n'est pas très sympa par moment...

Il chuchota pour la bête au pelage blanc :

- Tiens toi un peu tranquille.

La belette geignit quelque chsoe et au grand étonnement de Cat, il sembla comprendre ce qu'elle disait et pouvait se faire comprendre d'elle. Elle n'aurait pas du être si étonnée, elle comprenait bien les chats mais quand même... une belette !

- Je sais, on va y aller, alors du calme !

La neko ffronça les sourcils, où allaient-ils ? Manger probablement, comme tous les élèves à cette heure. Elle remarqua d'ailleurs qu'ils étaient seuls dans le couloir. Il n'allait plus rien y avoir à manger !

-Nous allions à la cafeteria, vous voulez nous accompagné ? Au faite ! Moi, c'est William ! Et elle c'est Cat !

L'intéressée tourna la tête vers Will, elle savait se présenter elle-même ! Elle retint tout de même sa langue et s'apprêta à aller manger, hors de question qu'elle rate le repas ! Ou qu'elle n'ait que les restes dont ne voulaient pas les autres élèves...