Chambre 17 (Tôma&Amanda)

Je marchais dans la rue, sous la pluie abondante. Je ne pouvais pas ignorer le mal que j'avais fais à ma tutrice. Je l'aimais beaucoup et je lui dois beaucoup mais je ne suis pas normal, et elle ne peut pas me géré, c'est alors qu'elle m'indiqua un établissement spécialisé. J'appréhendais cet établissement mais que faire ? j'étais obligé sinon je resterai dehors toute ma vie et je ne pourrai jamais. J'étais trempé jusqu'aux os, je commençais à avoir froid. Heureusement que je n'ai pas beaucoup de bagages. je me contentais d'une petite valise verte et d'un sac rouge. Je demanda ma route à une personne

"Excusez moi, je cherche un établissement spécialisé..."

Mais rien faire, au moment où je dis spécialisé, je me fis rejeté, comme tout le temps. Pourtant, j'ai pris l'apparence d'une belle personne au physique plutôt ravageur. Je continua de chercher, et de chercher, lorsque soudain, je trouva enfin le lieu. Je regarda le papier et remarqua que c'était la bonne adresse. Un sourire se dessina sur mon visage e je m'avança. J'arriva devant un grand portail et vit de grands bâtiments

"Woooow...trop fort"

J'étais ébahit devant et je m'avança dans la sorte de courre. Il n'y avait personne dehors, sans doute à cause de la pluie. J'entra dans le bâtiment qui semblait être le principal et vis l'accueil. Je me présenta devant, et vis une personne qui me regarda bizarrement. J'arbora mon sourire. Je dégoulinais d'eau, à tel point que j'avais mis de l'eau partout

"C'est pour quoi ?"
"Je suis ici pour m'installer"
"Vous installez ? et puis quoi encore ? vous avez salis le sol et demandez d'être héberger ?"
"Oui"
"Non mais vous êtes fous ? vous savez ce qu'est cet établlissement ?"
"Non pas trop, juste qu'il est spécial"
"Et encore, vous êtes gentil. Dîtes moi es raisons de votre venu ici"

Je lui raconta alors ma vie. Au début de mon histoire, la personne fût choquer de ce que j'avais vécu

"Oh mon dieu...bon, j'imagine que c'est comme pour les autres. Je vous attribue une chambre. Mmmmh...la 17. Je vous préviens juste que c'est une chambre double, donc vous risquez d'avoir un ou une coloc' "

J'hocha la tête et elle me confia une clé. Je remercia la personne et partis chercher ma chambre, le seul problème...où c'est ? je ne connais pas les lieux moi. Je suis pas dans la merde...Je chercha donc, traînant dans les couloirs qui étaient un peu plus vivants que la courre. Je traversa les couloirs, les uns après les autres et je trouva des salles, avec des chiffres et je commença à chercher mon numéro. C'était lequel déjà ?...17 si je me souviens. J'arriva devant mon numéro, ma chambre. J'entra la clé et tourna puis ouvris. Je regarda d'un petit coup d'oeuil. Moyenne, les fenêtres fermées. Je rentra et décida d'ouvrir les fenêtres et m'installer sur l'un des deux lits. Je devais penser à autre chose. Je ferma donc mes yeux et me laissa porter par les bras de morphée...

La journée s'annonçait longue. Le soleil ne brillait même pas, on l'avait oublié. La pluie, elle, on la connaissait. Même en étant une vampire, j'aimais sentir le chaleur des rayons de soleil sur ma peau blanche comme la neige. Je me dirigeais vers le pensionnat que je recherchais sous les torrents que le ciel nous versait sur la tête. Les superstitieux auraient pensé que leurs dieu ne voulait pas quelqu'un aille dans cette sorte de lycée. Je ne l'étais pas. J’avançais d'un pas trainant malgré le mauvais temps qu'il y avait. Je me fichais pas mal de la pluie vu que je n'avais jamais froid ou chaud d'ailleurs. Je marchais sans savoir où se trouvait le pensionnat et sans demander ma route aux personne que je croisais, de toute façon j'en voyais plus derrière leur fenêtres que dans les rues presque inondé. Au bout de quelque minutes de marche, environ une dizaines, j'arrivais devant l'école où j'allais enfin retrouver de la famille. Le bâtiment était très grand par apport au autre qui m'avais été donné de voir durant presque 200 ans. La court était déserte, mais c'était normale vu le temps. J'avançais vers l'entrée. Je devais aller à l’accueil avant de pouvoir voir ma chambre. Une femme était assise derrière le comptoir. Elle était brune avec les yeux marron. Une femme comme on doit en voir derrière les bureaux d'accueil de tout type d'établissement. Je me dirigeais vers elle et elle releva la tête en me voyant :

- Que veux-tu ?
- Je voudrais avoir la clé de ma chambre s'il vous plait.
- Votre nom.
- Amanda Sestrea.
- Je vous préviens, c'est une chambre double. La 17.
- Merci. Bonne journée.

Je pris la clé et la dame se replongea dans ce qui ressemblait à un roman à l'eau de rose. Le type de roman que lisent les femmes pour faire passer le temps. En tout cas, son ton ressemblait à celui des gens qui aimeraient qu'on arrête de les déranger le temps de leur lecture ou de leur occupation. Je n'avais pas la moindre idée d'où était les chambres. Pas un panneau. Je parcourus le bâtiment jusqu'à trouver ma chambre. Les portes avaient toutes des numéros, il me suffisait donc de déceler la mienne. Je découvris enfin la chambre 17. J'insérai la clé pour être sûre que c'était bien la mienne, la clé fonctionnait. J'ouvris la porte sans vraiment faire attention. La chambre était assez grande pour deux personnes. Les fenêtres étaient ouverte, mais même si elles avaient fermées j'y aurais vu comme en plein jours. Il y avait déjà quelqu'un. Je fis attention à ne pas faire trop de bruit ce qui ne fut pas difficile en étant une vampire de plus de 200 ans. Je posais mon sac à dos à côté du lit près de la fenêtre du fond. Je regardais dehors. Le paysage n'était rien d'autre que la ville que je venais de traverser. En m’asseyant sur le lit, je fis grincer les ressorts, mais l'inconnu ne bougea pas. Je défis les quelques affaires que j'avais : des vêtements, un livre de ma première maison et une photo de famille que je mis sur ma table de nuit. Je mis les vêtements dans mon armoire et mon livre à côté du cadre en bois de chêne contenant la photo. En revoyant ma famille réuni, je repensai à elle. J'avais réussi à retrouver ma sœur qui était dans se pensionnat mystique. J'étais en pleine remémoration de ma vie d'humaine et sans faire attention, je fis tomber le livre. En atterrissant, il fit assez de bruit pour que l'étranger se réveille et se redresse sur son lit. Je ramassais mon livre plus vite que je ne l'aurais voulu. Je n'aimais pas être prêt de personne que je ne connaissais pas. Par pure réflexe je caressai mon bracelet contenant mon animal, un tigre blanc. Je fis comme si je ne l'avais pas vu se relever. Il ne devait pas être de bonne humeur après cet fait tirer de son lit par une tierce personne. Je dis d'une voix basse comme si je voulais chuchoter et toujours en regardant par la fenêtre ouverte :

- Désolée du bruit, je n'ai pas fait attention.

Une question me vînt : qu'était-il ?

J'étais plongé dans un profond sommeil. Je n'arrivais pas à trouver immédiatement le sommeil, enfin, au bout de cinq minutes je réussis à m'endormir. La pluie m'avais épuisé, et mes affaires lourds m'épuisaient encore plus. Je me mis à rêvé de pleins de choses. Je repensa à tout ce qui m'arrivais dans cet asile. Je repensais à tout ces gens qui venaient pour...rien que d'y repenser me fis me replier sur moi même, presque sur le point de pleurer. Pourquoi est-ce que tout les malheurs du monde me tombaient dessus. En me voyant qui pourrait imaginer ce qu'y m'est arriver...
Au bout d'un bon moment, enfin, je pense que ça fait longtemps, j'entendis un bruit sourd qui me fis sursauté et je me redressa en transformant ma main en lame. En me tournant, je vis quelqu'un, en train de caresser son bracelet. C'est une jeune fille aux yeux bleus et aux cheveux roses. Assez belle

"Désolée du bruit, je n'ai pas fait attention" Me dit-elle en regardant par la fenêtre

Je me calma et repris ma forme nirmale. Je regarda par la fenêtre moi aussi, et il pleuvait encore, Mais je ne vis rien qui pourrait attirer son regard. Je m'étira et me frotta la tête, puis m'assis sur mon lit, en me mettant en tailleur

"Ce n'est pas grave"

Elle rangeait déjà ses affaires alors que moi, j'avais laisser mes affaires aux pieds de mon lit

"Je...je suis Tôma"

J'avais de petits yeux, les cernes correctement dessinées sur mon visage. J'étais épuisé, mais je ne devais me retenir de ne pas dormir devant elle, de plus, je ne peux lui faire confiance, ou du moins, pour le moment

- Ce n'est pas grave.

Quand il parla, je me retournai. Je vis un jeune homme, rien de bien terrible pour moi. En plus il avait l'air épuisé avec ses cernes. Je ne vis aucun dangers en lui. Une chose était sur, ce n'était ni un vampire, ni un lycan. Son odeur ne me disait rien. Il reprit la parole :

- Je... Je suis Tôma.

Il avait bégayé, peut-être qu'il avait peur de moi ? Je ne pensais pas, mais on sait jamais. Je savais son nom maintenant. Je me présentai à mon tour :

- Moi, c'est Amanda. Enchantée de faire votre connaissance.

Malgré ma timidité, j'étais toujours polie. C'était de famille. Une éducation impeccable. Malgré tout, j'étais un peu curieuse. Je demandais donc parce que je n'arrivais pas à savoir ce qu'il était :

- Qu’êtes-vous ? Enfin je veux dire, à quelle race appartenez-vous ?

Je voulais d'abord savoir sa race avant de dire la mien. Les vampires ne sont pas aimé de tout le monde. Je me levai et m’appuyai contre le mur près de la fenêtre sans pour autant le quitter des yeux. Était-on vraiment obligé d'avoir une chambre double ? Une chambre simple au lieu de double aurait été mieux. Tant pis. Je ne voulais pas faire peur à Tôma. Je n'avais pas faim, ce qui était un avantage pour lui. J'avais chassé avant de venir au pensionnat.