Sanglant matin...

Dés que j'avais entendu sonné, pour la quatrième foie, mon Ipod, je m'était dit que cette journée devait, j'ai bien dit devait, être emplie de la vue et de l'odeur du sang humain. En clair, j'avais décidé d'aller faire mumuse en ville. Ainsi, sur cette pensé réjouissante, j'avais posé un pied hors du lit. Mon sourire sadique redoubla lorsque je vit le magnifique temps. Un soleil immense et jaune... un ciel bleu... Il allait faire chaud, et c'était un jours parfait pour dégusté de la chaire fraiche. Je m'était décidé à ne pas déjeuné, ainsi je pourrait avalé un maximum de chaire humaine... Nan, je suis pas cannibale : Je suis pas humaine. J'allais rapidement prendre une douche. Ben ouai, pas besoin de resté trois heure sous de l'eau qui coule. T'façons j'avais jamais aimé l'eau... c'est trop... mouillé à mon goût. Je m'habillais avec un short et un tee-shirt, mon sweet... bref rien d'incroyable. Il était a peu près dix heures et des bananes... bon... je pouvait attendre un peu encore... déjà, je devait savoir ce que je voulait manger... j'avais pensé à des enfants... on était bien en semaine, hein ? Et bien, je pouvait chopé une ch'tite famille à la sortir des primaires... ouai. Mais alors, mieux valais partir maintenant. C'est donc sur cette bonne idée que je plaçais avec soin mon sabre à ma ceinture, et ouvrais la fenêtre. Attendez... j'allais quant même pas passer par la porte ! J'évaluais la hauteur en une fraction de seconde puis sautais agilement. J'atterrissais sur un genoux, ,un pied et une main puis me redressais. Bon, facile, comme d'dab' quoi. Je m'élançais rapidement vers les grilles, et les sautais avec habilité. Je me retrouvais en bas sur mes deux jambe, cette foie ci. Je me dirigeais donc vers la ville, plus communément appelé 'supermarché à viande gratos'... Je courrais le plus rapidement possible, c'est à dire bien plus vite que les humains... j'aimais cette vitesse, l'impression d'aller si vite que l'on dépassait tout : souvenir, émotion, avenir... tout quoi. Voir le paysage défilé ainsi était drôle, aussi. Mais le plus drôle était d'imaginé le meurtre que j'allais faire... les cris, le sang qui coule, les os qui craquent... Je ralentissait en arrivant à l'entré de la ville. Passent par les rues, j'allais directement vers l'école. Depuis l'temps, me diriez vous, je connaissait tout. Même les lieu emprunté par les gosses. Je m'assoyait au sol, attendant la venu des mômes. Une petite ruelle... mais où un petit groupe de morveux passait pour rentré chez eux... seul. Quatre. Je les avait repéré, mais jamais intéressé de très prêt. J'allumais une clope. Pourquoi fumé, allez vous me dire. Sans doute car sa me rappelais les enfers... et dire que j'étais partis pour ne pas devenir une tueuse cruel et tout et tout... je souriais ironiquement...
-On échappe pas à son destin, hein...
Ma réflexion personnelle fut interrompue par leur arrivé. Je les laissait avancé... puis arrivais derière eux. Trop plongé dans leur discutions sur un nouveau jeu vidéo, il ne m'avaient pas entendu arrivé... avant que je ne prenne le plus jeune, d'environ sept ans, par la nuque. Il poussa un cris tendit que je le soulevais. Les autres se retournèrent, et reculèrent un peu... trop tard. Je lâchais le premier après avoir entendu le petit 'crac' du cou brisé. J'avançais vers les trois autre. Une petite fille, et deux autres gars...
-Et ben... v'nez faire mu-muse avec tata Neko...
Un des deux gars m'avait l'air parfait... une tignasse brune et des yeux bleu foncé... il aurait bon goût. Je l'attrapais sauvagement sauvagement le gosse et l'envoyer contre un mur. Il poussa un cris et commença à pleuré en se tenant le bras. Son cris eu de l'effet sur les deux autres, qui hurlèrent eux aussi.
-Vos gueules !
Je lançais mon sabre comme un boomerang : Il coupa les deux têtes à la suite, avant de revenir vers moi. Je l'attrapais et le posais à côté. Puis me retournais vers l'autre. Il s'était tût, sans doute sous l'effet de la peur.

Mais bon, il aurait mieux fait de crié, histoire d'alerté des gens. Mais bon, il était trop tard, tant pis pour lui. Mais je n'allais pas le laissé échappé le moindre petit son vocal... Je pris sa gorge à main nue et m'efforçais à trouvé les cordes vocales. Je mit une telle force que, je ne sait comment, elle furent vite ors d'usage, écrasé, ratatiné. J'avais parfaitement l'image en tête. Les yeux de l'enfant étaient exorbité, le blanc était rouge... c'était plutôt... étonnant, gore, amusant. Tant de mots parfaits pour décrire la cène. Un gosse de dix ans tout au plus, le bras tordu, les cordes vocales écrabouillés, les yeux rouge et bleu, suspendu au dessus du sol. Mais quelque chose devait interrompre ma joie. Un sabre alla se planté dans le corps d'un mioche – que je n'avait pas senti, sans doute à cause du sang. Je lâchais ma proie, me tournant vers le corps. Saaya. Toujours là quand je m'amuse elle... Je commençais à croire sérieusement qu'elle me suivait. Et en plus elle me piquait les gosses. Mais bon, je n'était pas d'humeur à tergiversé avec elle, étant plongé dans mes délire sanglant. Et je n'avais pas manger ce matin.
-Encore sur mon terrain de chasse, hein...
Mais je reportait mon attention sur ma proie : il c'était relevé et m'avait... eu... mordu le bras ? Et ben il à pas des crocs bien aiguisé, le machin. Je bougeait un peu le bras décrochant la sangsue humaine. Je soupirais, reprenant calmement mon sabre. J'observais la lame, ignorant le gosse qui s'était relevé. Je levais finalement les yeux sur lui, me demandant comment le tué. Je pouvait le transformé en passoire, le transperçant de plusieurs coup de sabre... En faire du sushi, le coupant en fine lamelle... Broyé tout ses os sous mon autre forme... Ou les trois ? J'optais pour la dernière idée. Étape une : Les sushi. D'un geste habile, je sectionnais une jambe et un bras du gamin. Il voulût poussé un cris mais il n'avait plus de cordes vocale. Muha... je suis génial. Alors qu'il se dandinais ouvrant la bouche pour pousser des cris muet, je lançais les deux membres en l'air. D'un bon, je me retrouvais à leurs niveau, à environs trois ou quatre mètres du sol. En quelque mouvement de mon sabre, je tranchais les membre en lamelles. Je revint au sol sans problème, sur mes deux jambe, les tranche de gamin autours de moi. Sur le coup... j'avais grave la classe. Le môme me regardais bouche bée. Son regard affolé allait des particules de son corps tranché à moi. Mais ce n'était pas finit. Il allait encore souffrir le gosse. Je devait faire vite, avant qu'il ne se vide de son sang. Mais pas trop car je devait aussi apprécié tout sa. J'avais plus ou moins oublié la présence de Saaya. Je m'approchais du brun à demis découpé, et me mettais à sa auteur. Que lui faire, maintenant... Il avait déjà un bars cassé, un autre et une jambe coupé, plus de corde vocale... Je lui aurais bien brisé le squelette en mille miettes, mais la rue était trop étroite pour que je puisse prendre mon autre forme... alors je le dévorerais ainsi. Toujours assise vers lui, je tâta son corps secoué par les pleurs, à la recherche d'une partie tendre.
-C'est l'heure de passé à table...
Le morceau qui avait attiré mon attention était près du cœur, juste au dessus en fait. Le cœur, qui insufflait la vie à tout aître vivant. Mais la vie, c'était quoi ? Personne ne veut la perdre, ne veut mourir. Mais pourquoi ? La mort est la plus belle chose qui soit. Une délivrance. Et un plaisir pour ceux qui la maitrise. Alors pourquoi en avoir peur ? C'était bien quelque chose que je ne comprenais pas. Plus. Car plus jeune, je le comprenais. Mais vivre ou mourir, après tout, quelle importance. Certaine personne -moi compris – n'avait après tout aucune raison de ce maintenir en vie. Alors pourquoi l'étais-je toujours ? Étais-ce mon désir de vengeance ? Mon envie de meurtre ? Tant de questions que j'avais pourtant bannis. Vivre pour vivre, je m'était résolue à quelque chose de si simple. Vivre pour vivre. Vivre pour mourir. Le goût de la chaire humaine m'arracha de mes pensé et un sourire satisfait vu naissance sur mes lèvres. J'avais utilisé mon sabre pour découpé la partie qui allait ouvrir le repas. Plus rien n'existait, que moi et mon repas. Les gens, la ville, Saaya... rien. Je mordais une autre foie dans la viande fraiche.